12

573 32 21
                                    

La porte s'ouvre avant même que maman est le temps de lever la main pour toquer. Il est à peine huit heures, comme demander par Alma on est venue à la première heure. J'ai presque pas dormi de toute la nuit, je me suis entraîner à me battre. Je sais déjà ce que Alma va nous dire, j'y est penser pendant que je m'entraîner. Alma arrive et nous emmène dans la cuisine. Elle nous indique deux chaise en bout de table, tout la famille Madrigal est la. Camilo croise mon regard et me fait un petit sourire timide. Alma s'assoit de l'autre côté de la table, elle croise les bras et nous regarde.

- Je veux que vous me réxpliquier en détail ce qui c'est passer, commence-t-elle.

Ma mère me regarde et elle commence à expliquer ce qui c'est passer au mois de juillet dernier jusqu'à aujourd'hui. En écoutant ma mère parler je me rend compte que j'ai beaucoup évolué depuis ces trois mois, j'ai grandie physiquement et mentalement. Je ne suis plus la même Alana. Maman fini de re raconter notre histoire et Alma hoche la tête.

- Très bien. Non en faite pas très bien. Tu à amener des gens dangereux dans notre Encanto, Alana. Si ils ont trouvé le moyen d'entrer c'est parce que tu le leur a montrer, peut être inconsciemment mais c'est tout de même ta faute.

Je lève la tête et plante mon regard dans le sien.

- Je sais bien et je m'en veux beaucoup de vous avoir mis en danger. Répondit-je.
- Il faut qu'ils partent.
- On le sais bien et on a l'intention de les faire partir. Dit ma mère.
- Ah oui ? Si j'ai bien compris votre histoire, pour l'instant vous n'avez fait que fuire.
- Vous avez fuit vous aussi, il y a 50 ans. Lui-dis-je.
- Ne parle pas de ce que tu ne sais pas jeune fille.

Sa vois est ferme, je l'ai mise en colère. Tans mieux.

- Au contraire, je pense bien connaître votre histoire. Je vous ai bien écouter en parler, et elle est plutôt similaire à la mienne sur certain point. Vous ne croyez pas ?
- Arrête avec ce ton ! Mon histoire n'est nullement similaire à la tienne.
- Vous avez fuit votre village à cause de bandit, tout comme moi. Vous êtes arriver ici pensant avoir une vie bien mieux, comme moi.

J'étais prête à continuer mais Alma m'arrête d'un geste de la main.

- Stop ça suffit. Je veux que vous fassiez partire ces gens et quand ce sera fait partez aussi, afin que l'Encanto ne soit plus jamais mis en danger.
- Quoi ! Vous voulez que l'on partent ? Je refuse. C'est ma maison ici, dit ma mère. Je suis née ici, j'ai grandi ici. Je ne partirez pas parce que ça vous fait plaisir.
- J'ai créé l'Encanto ! C'est moi qui décide ici !
- Non non non, l'Encanto à été créé pour vous protéger, vous et les habitants du village qui été avec vous. L'Encanto vous a donner des dons pour continuer à protéger les habitants car c'est ce qu'avez fait votre mari. Mais vous n'êtes nullement sa créatrice ou je ne sais quoi ! S'emporte maman.

Je pose ma main sur son bras pour l'aider à ce calmer.

- Faite les partir ou tuer les, comme ça vous plaira et on verra après si nous vous autorisons à rester.

Maman ce lève et dit à Alma que elle et moi nous allons continuer à nous entraîner pour être à notre max. Je me lève aussi, je regarde Mirabel qui a la tête baisser vers la table. Je regarde ensuite Dolores qui me faire comprendre qu'elle est désoler pour nous en un regard, je tourne la tête vers Antonio qui a les larmes au yeux, je lui fait un petit sourire pour le rassurer. Maman sors de la cuisine sans un regard à personne. Je la suis après avoir lancer un regard à Camilo.

- Maman ?
- Oui chérie ?
- Je peux aller faire un tour avant qu'on s'entraîne.
- On devrais commencer maintenant Alana, plus on s'entraîne mieux ce sera.
- Je sais mais j'en ai vraiment besoin, pour souffler un peu.
- Bon d'accord. A tout à l'heure alors.
- Merci.

Je marche vers le lac où Camilo ma emmener, j'ai l'impression que ça fait des siècles que c'est arriver. J'enlève mes chaussures et je m'assois au bord de l'eau et mets les pieds dans le lac. Je souffle un bout coup. Une branche craque dans mon dos, je me retourne avec un sursaut.

- Holà mi corazón, dit Camilo.
- Salut.
- Oula toi ça va pas, hein ?
- Non pas vraiment. Je t'avoue que je sais pas trop quoi faire. Il faudrait que je m'entraîne mais j'en ai aucune envie, j'ai envie de rien. Apart peut-être, être avec toi.

Je lui sourit et il s'assoit à côté de moi, je pose ma tête sur son épaule et il passe son bras autour de moi et pose sa main sur ma cote.

- Tu veux m'apprendre ? Me demande Camilo.
- T'apprendre quoi ?
- A manier une épée, à me battre. Ici avec nos dons on n'a jamais apris à ce battre.
- J'apprends tous juste moi aussi. La première fois que j'ai tenue une épée c'était celle de mon père, j'avais 8 ans. Et j'ai commencer à apprendre à me battre avec Isla, elle me disait qu'elle trouvait ça amusant mais elle voulait en réalité que je puisse me protéger de son père et de ses "amis" si on peut appeler ça comme ça.
- Mais tu en sais déjà plus que moi.
- Oui peut-être.

J'hausse les épaules.

-Tu crois qu'on va y arriver ? J'enchaîne.
- Oui bien sur.
- Tu ne pense pas qu'on va mourir ?
- Je suis sur que non. Vous aller les faire partir et on vivra heureux jusqu'à la fin du monde, il a un ton rieur.
- On ne va pas ce contenter de les faire partirs, il faut les tuer.
- Ta le chic pour casser l'ambiance toi.

Je rigole et lui donne un coup dans l'épaule. Il se lève et me porte. Il va dans le lac.

- Oh non non ! Camilo !

Il me jete dans l'eau, je sors ma tête de l'eau pour respirer et en profite pour lui balancer de l'eau dessus, il est tout mouiller. Je rigole fasse à sa tête indigner. Il se jette sur moi et me coule. On continue à jouer un peu dans l'eau, puis je m'accroche à lui comme un koala et on reste comme ça pendant quelques minutes.

- Il faut que je rentre maintenant, dit-je à Camilo.
- Ouais je comprends, on ce revoit quand ce cauchemar serra fini ?
-Bien sur.

Il m'embrasse et je sors de l'eau, je me dirige vers chez moi tout en séchant à l'air libre. J'arrive à la maison et je monte me changer, par la fenêtre de ma chambre je vois maman entrain de s'entraîner. Je me mets en tenue de sport et descend dans le jardin. Je prends un bâton.

- Tu est prête ? Me demande maman.
- Oui, je crois.
-Très bien allons-y.

Maman m'attaque en allongant une botte que j'évite et dévie de sa trajectoir avec mon bâton, je lui renvoie une attaque qui l'a touche à la cote. On s'entraîne pendant plusieurs heures. Mon ventre gargouille.

- On peut faire une pose ? Ça fait au moins quatre heures qu'on s'entraîne.
- Oui, va manger espèce de morfalle.

On rigole, ça fait longtemps que je n'avais pas entendue maman rigoler. Je rentre à la maison et je prépare des sandwichs. Maman rentre et s'assoit en face de moi. Elle prend un sandwich et croque mollement dedans pendant que moi je dévore le mien.

- Qu'ech qui a ?
- Arrête de parler la bouche pleine.
-Qu'est ce qui a ? Redemande-ai-je après avoir avaler ma bouché.
- Je m'inquiète pour toi.
- Pas la peine.
- Oh si, tu est trop impulsive. Qu'est ce que tu pourrais faire si ils venait te provoquer.
- Maman, arrête de t'inquièter. Vraiment. Je me contiendrais.
- Toi ? Laisse moi rire.
- Je le prends mal.

Elle me sourit gentillement pour ce faire pardonner.

- J'irais au lycée demain.
-Pourquoi faire ?
- C'est pas toi qui voulais que je continue les études malgrés, je cite, "nos péripétie de ces derniers temps".
- Si, mais là j'ai plus très envie que tu y aille.
- Mais si, ne t'inquiète pas.
- Bon d'accord.

Après avoir fini de manger on retourne s'entraîner jusqu'au coucher du soleil. Je monte me doucher et me couche épuisé de ma journée charger d'émotion très contradictoir les une des autres.

_________________________________________________

Et voilà pour ce nouveau chapitre, désoler d'avoir mit du temps à le poster mais en ce moment j'ai pas trop trop la forme, mais bref j'espère qu'il va vous plaire même si il ne ce passe rien de bien fou.

Camilo Madrigal Où les histoires vivent. Découvrez maintenant