Il a tué un homme, hier. Devant un ciel bleu écarlate. Devant ses yeux verts émeraudes. Sa peau ne reflétait que la vengeance de ses coups et de ses larmes.
La colère est faites pour détruire et non pour construire. Elle tue des milliers d'hommes comme il vient de le faire.
Elle tue des frères et des pères comme il vient de le faire.
Elle tue et arrache les pétales.
Elle ne pense pas au autres, encore moins à vous. Encore moins à lui.
Ses mains étaient noyaient de sang, sur sa joue reflétait une goutte perdue, seule, laissée là à l'abandon comme une larme séchée que personne n'aurait voulu pleurer.
Ses yeux étaient vide et personne n'avait vu ce qu'il avait fait. Personne n'aurait pu crier, jugeait, dénoncer, raconter, modifier ses actes.
Personne.
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Il aurait pu porter votre nom
RandomIl est face à son miroir. Silence. Rien. Il se rappelle combien il aimait contempler le ciel. Il ne sait plus. Dieu ce qu'il aimait son frère. Il ne sait plus. Pourquoi ne pas essayer de tout se rappeler ?
