...why don't you?

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- Dis moi Mourtala Abdoul Fatah Fall. Dis moi pourquoi tu aimes me torturer ?

Sa respiration devient haletante, son poul s'emballe et une légère couche de moiteur recouvre peu à peu sa peau.

Je me souviens qu'il y a six ans, la première fois qu'il s'est réellement passé quelque chose entre nous,  j'avais noté que son cou semblait être une zone particulièrement érogène chez lui.

Six ans, et je n'ai pas oublié.
Alors je fais glisser mes lèvres vers son cou et aspire doucement.

Ce qui est assez particulier avec lui, c'est que je ressens un plaisir hors norme à lui faire du bien.
Ce qui ne fait que m'enhardir.
Plus...
J'en veux toujours plus.

Là, il halète et ses mains qui tentaient de m'empêcher de le toucher sous sa chemise remontent le long de mon dos.

Je gratte légèrement ses têtons du bout de mes ongles et à partir de ce moment là situation m'échappe un peu.

Il m'empoigne les fesses et me retourne en un tour de main, je suis allongée sur le canapé, lui au dessus de moi.

- Ce n'est pas pour ça que je t'ai fait venir khadija, mais pour parler. Souffle t-il, la respiration rapide et les yeux légèrement brumeux.

You know our love would be tragic
So you don't pay it, don't pay it, no mind
We live with no lies

C'est paroles de The Weekend me ramènent à la réalité.

Moi non plus je ne suis pas venue pour ça Tala.

Au fond de moi je craignais que ce genre de choses se produise mais je suis venue pour régler la situation, pas pour ça.

Mais si ça est un moyen pour moi d'obtenir la réponse à mes questions...

Mais la stricte vérité, c'est que je n'ai pas pu m'en empêcher.

Et je ne regrette rien.

Je happe ses lèvres en guise de réponse et nous émettons un gémissement synchronisé.

Rapidement, sa chemise rejoint le sol, et on s'affaire tous les deux à trouver la fermeture de mon haut.

Je ne peux pas décrire l'excitation qui m'anime en cet instant, mais ce n'est pas pour autant que la rage qui m'animait en venant à disparu.

Par un miracle, je ne sais pas lequel, je suis de nouveau assise en califourchon sur lui, il s'affaire maintenant à dégrader mon soutient gorge.

Mon cœur se sert un peu quand je pense que je n'ai jamais été aussi loin avec Doudou.

Un baiser, c'est tout ce que nous avons partagé jusqu'ici.

- Attends... et si on nous trouvais ici? Lui dis-je en m'extirpant à ses baisers.

Malgré l'intensité du moment, je n'oublie pas que nous sommes dans un endroit public, même si la salle est privée. Il serveur peut entrer à tout moment.

- Non, j'ai demandé à ce que l'on ne soit pas dérangés.

Sitôt dit, il s'attaque à ma poitrine qu'il a enfin réussi à délivrer de mon soutient gorge.

Pardon mais... pas sans toi ( Nouvelle)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant