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PDV extérieur

Esther: Bien aujourd'hui nous accueillons parmis nous un nouveau général qui tout au long de votre parcours sera là pour vous permettre d'évoluer et de devenir de vrai combattant.

Comme chaque matin, les soldats asgardiens sont confrontés à deux heures d'entraînement. Aujourd'hui est l'arrivée du nouveau général remplaçant Esther, le général Nelss mais aussi l'arrivée de nouvelles recru.

Esther: J'attends de vous un comportement exemplaire à son égard et sachez que s'il y a le moindre débordement,  le général m'en fera par, et je vous souhaite à ce moment là d'être à l'autre bout du royaume. Que vous compreniez, ici, trois valeurs sont importantes, le respect, la loyauté et l'entraide. Si l'une de ces valeurs vous pose un problème ou que vous êtes en totale désaccord avec notre façon de procéder...je vous invite à quitter le groupe des maintenant. Ici il va y avoir de la discipline, un entraînement aguerri, du savoir-faire et du savoir être, alors la aussi si l'un de vous est trop fragile ou incapable de suivre et d'obéir aux ordres il peut partir. Nous ne travaillons qu'avec les meilleurs pour qu'ils puissent garantir la sécurité de ce royaume et des neufs autres. Alors désormais soldats je veux que vous preniez le temps de regarder à votre droite et à votre gauche. Il ne s'agit pas là de concurrents ou d'ennemis avec qui vous allez vous quereller...il s'agit de vos compagnons, vos frères d'armes avec qui vous allez vous battre côte à côte lors de batailles contre vos VRAI ennemis. Le travail d'équipe, messieurs, et la clé pour vaincre, me suis je bien fait comprendre ?

Soldats: Oui mon général.

Esther: Général.

Nelss: Oui je vous écoute...

Esther: Ils sont tout à vous.

Nelss: Bien mon général. Soldats en piste formez les rangs en allant vers le terrain

París: Un discourt digne des plus grands je dois dire.

Esther: Ils doivent comprendre des le début qu'ici la plaisanterie et les enfantillages ne sont pas les premiers mots qui qualifie un soldat. Et par pitié París...en ayant toute sont attention colle une droite à Karl une bonne fois pour toute...cet imbecile prend trop de confiance, il faut te montrer plus ferme avec eux...

París: Pitié ne parle pas comme mon père en levant les yeux au ciel qui fit ricaner la jeune général

Esther: Bien je dois me rendre à la bibliothèque pour une recherche personnelle, je reviendrai pour l'entraînement de mon escadron.

París: Très bien général.

Sans plus attendre, Esther prend la direction de la bibliothèque pour trouver des éléments qui pourraient l'aider au niveau de ses pouvoirs. L'espoir...ce mot là n'a jamais été prononcé une seule fois par Esther, tout simplement parce qu'elle n'y croyait plus. Quand toute votre vie a été basée sur la violence, la peur et la solitude, l'espoir fait partie des premières choses qui par le temps ont été oubliées. Mais maintenant plus rien n'est comme avant, cette fois ci l'espoir est bien réel pour le général et elle ne va surtout pas baisser les bras.

Déambulant dans les allées, scrutant chaques reliures de livres pour trouver celui qui l'intéresse, elle ne se laisse pas déconcentrer par les bavardages des autres passant. De toute manière ils ne resteront pas plus de cinq minutes et elle le sait. Malgré le charme de la bibliothèque et son immensité, cette pièce n'est confrontée que très rarement aux visites des membres du palais. Les conseillers,les hauts gradés, les nobles...

Esther n'en a jamais croisé depuis son arrivée dans le royaume sauf évidemment le prince qui semble être un adepte des livres et du savoir. Cela étant dit, la jeune guerrière commence à s'énerver, les minutes passent et elle ne trouve pas le fameux livre qu'elle cherche tant. En jetant un coup d'oeil à la pendule, elle constate qu'il ne reste qu'une quinzaine de minutes avant que l'entraînement ne commence. En soupirant tristement, déçue de ne pas l'avoir trouvé elle se dirige vers la porte de la bibliothèque. Mais au moment où elle passe la dernière allée, une main la prit par le bras et l'entraîna dans l'allée perpendiculaire à celle-ci. Plaquer face à l'une des nombreuses étagères, elle ne tente rien, sachant très bien de qui il s'agit.