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"DEVIL TOWN IS COLDER IN THE SUMMERIME..."
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❝ Gentille, douce et optimiste. Tels sont les mots décrivant notre protagoniste exerçant le métier de psychologue : T/p T/n.
Cependant lorsqu'un nouveau patient totalement di...
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Je toquais à la grande double porte du manoir sinistre du Bonten avec une certaine appréhension. Vu l'événement précédent, je portais l'écharpe pourpre donnée par Yuzuha. Entre mes mains, je tenais un petit paquet destiné à Monsieur Sano. Je ravalai ma salive avec angoisse en voyant la porte s'ouvrir dans un grincement lent. L'homme aux cheveux longs blancs se trouvait derrière et me regardait avec confusion. J'esquissai un petit sourire gêné en le voyant.
- T/p ? Qu'est-ce que tu fous ici ? Dit Hajime surpris.
- Désolée de débarquer à l'improviste... Je me grattai doucement la joue.
- Tu m'as appelé pour que je vienne t'ouvrir la porte mais pourquoi t'es venue en premier lieu ? C'est pas un jeu de traîner ici tu sais.
Je pouvais remarquer qu'Hajime avait les yeux fixés sur mon écharpe. Je le dévisageais en fronçant les sourcils.
- Hum hum. Au lieu de me fixer tu ne pourrais pas être un gentlemen et m'inviter à entrer ? Dis-je agacée.
Il cligna deux fois rapidement les yeux et ouvrit la porte en la tenant pour moi. Je posai le pied dans cette immense résidence une fois de plus. Elle n'avait pas changé. Elle était toujours aussi sinistre et effrayante. Alors que toute mon attention était portée sur le lieu, on me tapota l'épaule.
- Eh !
- Quoi ? Dis-je en me tournant vers mon ami d'enfance.
- Est-ce que tu vas bien ? Dit-il assez inquiet en jetant des regards à mon cou.
- Oui je... Je suis en forme. Je baissai les yeux mais souris tout de même.
Soudain, l'homme fit un pas en avant vers moi et arracha l'écharpe de mon cou d'un geste brusque, exposant les marques rouges. Je me sentis alors nue et je me couvris immédiatement cette partie du corps les yeux écarquillés. Je regardais l'homme avec horreur.
- Mais ça va pas ? Il t'arrive quoi ?
Koko siffla en voyant les blessures très visibles.
- Il s'est pas retenu à ce que je vois. Il se grattait l'arrière de la tête avec gêne.
- Comment ai-je pu survivre contrairement à ses autres psy ? Je le regardai avec un profond désespoir.
