Mort ; toi qui empêche mon bonheur
Et fatalement laisse des pleurs
Sur ton large sillon mortifère :
Que veux-tu de nous être de chaires ?
Mort ; toi qui cueilleras mas vie,Ne pouvant que finir ainsi ;
Tu m'emporteras sans détours
Ne me laissant cueillir le jour.
Mort ; je te demande avant
L'après, d'ouïr le testament
D'un homme à la recherche
D'une vie qu'on lui arrache.
Je suis né pour mourir, je le sais et l'accepte.
Mais l'humain d'illusions se gave la tête.
À quoi bon chercher dans nos esprits un détour
À la mort ; si Thanatos la prend sans retour.
Le 09/02/2021
VOUS LISEZ
Deux années sont passées
PoetryDes poèmes, des pensées passées, des fragments de mon être, des sentiments sur l'instant, des souvenirs d'un autre temps.