Me plongeant dans ses yeux je quitte Terre,
Que l'on ose nier qu'ils soient de l'Art.
Je vogue à corps perdu dans cet être si plein.
Le vide de lui me convient encore que mes joies
S'envolent en cabrioles.
La simplicité de son tout me fascine
Plus encore que l'Univers Terre.
Dimensions saturées d'ondes nuisibles.
Ces mots sont peut-être sans sens sur feuille et en mot.
Mais l'esprit libre conçoit l'insoupçonnable
Pensée réductrice n'a telle de faiblesse.
S'il faut confronter pour gagner je douterais.
S'il faut douter pour avancer je continuerai.
Le 14/09/2021
VOUS LISEZ
Deux années sont passées
PoetryDes poèmes, des pensées passées, des fragments de mon être, des sentiments sur l'instant, des souvenirs d'un autre temps.