𝑱𝒖𝒔𝒒𝒖'𝒂̀ 𝒍'𝒂𝒖𝒃𝒆

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                    Levi Ackerman. Mon patron d'un mètre quatre-vingt huit, possédant une attitude aussi insolente que sexy.

Ce soir là, je m'étais rendu chez lui après que la société, où je travaillais, ait célébré un accord commercial qu'il venait de conclure.

Levi y travaillait depuis des mois et avait persuadé des investisseurs importants d'investir dans son empire, plusieurs millions.

Durant cette dure période, où le directeur était sur les nerfs, je me démenais encore plus, ne voulant pas m'attirer les foudres de celui-ci.

Pourquoi ? Sûrement par ce qu'il était vraiment effrayant quand il était en colère.

𝘛𝘰𝘶𝘵𝘦𝘴 𝘤𝘦𝘴 𝘯𝘶𝘪𝘵𝘴 𝘣𝘭𝘢𝘯𝘤𝘩𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘷𝘢𝘭𝘢𝘪𝘵 𝘭𝘢 𝘱𝘦𝘪𝘯𝘦.




                   Arrivée devant le building où il habitait, elle tapait le code d'accès avant d'entrer dans l'ascenseur pour se rendre au dernier étage.

Elle connaissait celui-ci par ce qu'il l'avait déjà fait venir chez lui de nombreuses fois.

Parfois, il lui demandait de venir pour l'aider à faire de simples tâches, qui a son humble avis, il pourrait faire lui même.





                   En réalité, la pauvre femme était bien loin de la vérité. En effet, l'homme la faisait venir chez lui juste pour la voir.

Ce qu'elle ne savait pas non plus, c'était que le grand directeur était en fait tombé raide dingue d'elle.

Il n'admettait pas le fait qu'il était attiré par quelqu'un parce qu'il s'était juré de ne jamais être vulnérable pour un autre être humain, mais elle, elle avait réussi a briser ses murs sans efforts.

Tout en elle l'avait fait tomber en pâmoison. Elle était si parfaite, si sûre d'elle et si demandée auprès de la gente masculine, qu'elle avait fait de cet homme froid et démuni de sentiments, un homme possessif et amoureux.





                   Je me souviens encore de la fois où il m'a fait venir dans son bureau parce que mon collègue, Jean Kirstein, n'arrêtait pas, je cite : « de flirter avec moi ».

Je savais qu'il n'aimait pas les relations privés au boulot et pourtant, ce malade m'avait enfermé dans son bureau parce que monsieur ne supportait pas de me voir sourire à cause de quelqu'un qui n'était pas lui.





                   L'homme agissait en fait comme si elle était intéressée par d'autres hommes.

Il se trompait sur toute la ligne, elle, se qu'elle voulait était pourtant assez simple.

Elle le voulait lui.




Il se remettait assez souvent en question, effectivement, jamais il n'avait été aussi dépendant de sa secrétaire. Auparavant, il faisait tout le travail parce que la plupart d'entre elles étaient incompétentes, mais elle... elle avait dépassé ses attentes.





                    J'avais finalement couché avec lui.
Ce soir là, je l'avais raccompagné chez lui après la soirée.
Et ce soir là, j'avais découvert un autre homme.
Un homme qui se retrouvait ivre mort sur son canapé sûrement coûteux.






                    Elle est allée à la cuisine pour préparer son thé noir préféré. Comme on pouvait s'y attendre de la part de son patron, il était maniaque de la propreté. Il n'y avait pas un grain de poussière. Elle c'était dit qu'il devait nettoyer obsessionnellement chaque recoin de son grand appartement. Comme il n'avait personne avec qui passer le temps, il nettoyait sûrement pour passer le temps.






OᑎᗴS SᕼOTS ~ ᒪᗴᐯI ᗩᑕKᗴᖇᗰᗩᑎOù les histoires vivent. Découvrez maintenant