Salut tout le monde, voici le premier chapitre de cette histoire! Pour le titre (qui est un peu nul) dites moi si vous avez de meilleures idées :)
Avant de commencer je remercie mes amies sans qui cette fiction ne serait pas la même !
Bonne lecture et n'hésitez pas à commenter!"Je ne peux me passer de toi,
Je ne peux vivre sans toi,
Nous serons toujours ensemble,
Toujours unis,
Peut importe la distance,
Peu importe les problèmes,
Je t'aime."Ce furent tes derniers mots, les derniers que tu eus écrit, je te revois glisser discrètement ce petit papier plié en quatre dans la poche arrière de mon jean. Plus jamais tu ne me parleras, plus jamais tu ne m'écriras. Ce furent tes derniers mots, mais je ne le savais pas, ou du moins pas encore. Jusqu'à cette chute. Ta chute. La chute qui a boulversé ma vie. Jusqu'à cette chute, je pouvais espérer en recevoir d'autres.
Après t'être écartée de moi en laissant ta main droite frolée la mienne, tu t'es dirigée vers l'escalier d'un pas rapide pour rejoindre tes amies qui l'avait déjà descendu.
Mais alors que tu trébuchais sur le lacet qui dépassait de ta chaussure gauche, ton sac a basculé en avant t'entrainant avec lui, et ta tête à heurtée une marche, imprimant sur le lino qui la recouvrait l'empreinte de ton front recouvert de sang. Ton sang. Tout le monde se précipitait et alors que la tête la première tu dévalais la dizaine de marches qui te séparait des tes amies, je restais là, impuissant, à te regarder te vider de ton sang A ce moment là, tu étais déja morte et quelque chose c'était rompu en moi, comme le dernier fil qui me reliait à la vie. Ce dernier fil, c'était toi.
Ma vie était déjà assez difficile comme ça mais il a fallu que tu en rajoute avec un mensonge,le pire de tous. Car si mentir c'était pour toi aussi naturel que pour moi, nous, on se l'était promis, on ne devait jamais se mentir. Et en tombant tu avait fait de ton mot d'amour le plus horrible des mensonges.J'avais quitter le lycée précipitement partant dans la direction opposée à celle où tout le monde se précipitait. Je partais à l'opposé, à ton opposé.
Une fois sortit j'ai attrapé les clefs de ma moto ainsi que mon casque. J'ai enfourché ma 80 RG, une Suzuki de 2001 achetée d'occasion, enfoncé mon casque sur ma tête et fait craquer le moteur en donnant un violent coup de kick. Elle a démarré au quart de tour et je l'ai conduite à toute vitesse, débridée elle atteignait facilement les cent quarantes kilometres/heure. Je connaissais la route par coeur, nous y étions venu tellement de fois. Je pouvais presque te sentir, sentir tes mains accrochées à ma taille, mais cette fois c'était différent, car ce n'était qu'une impression. Tu n'étais pas derrière moi. Tu ne serais plus jamais derrière moi. Quelques minutes plus tard, j'étais arrivé, Sur la route j'avais grillé tous les STOP et tous les feux rouges, qu'importe si ma vie se finissait aujourd'hui, car elle n'avait plus aucun sens. J'étais perdu sans toi; tu était ma boussole, mon repère, ma bouée de sauvetage, la seule personne que j'avais réellement aimé et la seule sur qui je pouvais vraiment compter.
Après avoir jeté ma moto par terre sans prendre le temps de mettre la bequille, j'ai enlevé le casque de ma tête et mon sac de mon dos et tout deux ont brutalement heurté le sol.
Quelques secondes plutard je me suis élancé à travers le bois, j'ai couru, j'avais toujours été doué pour ça mais là je tenais à peine sur mes jambes. Au bout de 30 secondes je dus m'arrêter car j'étais déjà tombé deux fois et je pleurais, je ne pleurais pas parce que j'avais mal, c'était une autre douleur qui me fesait souffrir, le vide. Le vide et le manque. Cela fesait environ vingt minutes, vingt longues minutes que je ne t'avais pas vu. Et je ne te verrais plus jamais.
Je me suis assis sur une vielle souche d'arbre, je ne me sentais pas encore près à m'enfoncer plus loin dans la forêt, car à environ cinquante mètres d'ici il y a cet arbre celui près du quel on s'asseyait tout le temps, celui où sont gravés nos prénoms entourés d'un coeur...
Je me souviendrais toujours de ce jour; cela fesait presque deux semaines que nous sortions ensemble, deux semaines que ma vie avait pris un nouveau tournant, car pour toi j'avais changé. Ce fameux jour, je t'avais convaincu de me suivre, c'était la première fois que tu montais derrière moi en moto et même si tu avais peur, tu n'avais rien dit. Au début tu étais crispée et puis de moins en moins jusqu'à être totalement détendu, lorsque nous étions arrivés, on s'était précipité dans les bois tout en se tenant par la main, tes longs cheveux bruns flottaient et tu souriais, tu étais magnifique, plus magnifique que jamais.
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General Fiction"Je ne peux me passer de toi, Je ne peux vivre sans toi, Nous serons toujours ensemble, Toujours unis, Peut importe la distance, Peu importe les problèmes, Je t'aime." Ce fus tes derniers mots, les derniers que tu eus écrit, je te revoit glisser...