Drarry

Chapitre 8

Harry

J'entends des gens qui parlent à voix basses, ils s'affairent autour de moi. Je sens leurs mains qui me palpent, je panique, je crie, me débat. Je ne sais pas qui ils sont et ce qu'ils me font. Mon esprit me renvoie dans les souvenirs ceux avec LUI, les souvenirs qui me détruisent. On me retient et me force à prendre une potion, l'effet est instantané, je tombe dans un univers cotonneux. J'ai l'impression d'être dans un cocon de chaleur et de calme. Mais c'est faux et je le sais. Je lutte encore contre les effets de la potion et essaye de rester éveillé. Mais je suis trop faible.

Plusieurs heures plus tard........

Je sors du monde cotonneux qui me préservait de la douleur ; et lorsque mes yeux s'ouvrent je tombe sur deux billes bleu noyées par les larmes. Fred. Fred devant moi, vivant. Freddy Weasley mon frère de cœur et le seul oméga plus âgé chez les griffons. Celui qui est mort tué par l'un de ces êtres infâmes qui ont rejoins voldy.

" hey, petit frère"

je ne peux pas parler, je ne suis capable que de laisser mes larmes couler. Il me prends dans ses bras et si je tente de m'éloigner au début sa douceur et les légers  phéromones qu'il libère  me calme. Il sent comme les patisseries qui sortent tout juste du four, je sens mes larmes se tarir et le laisse me serrer et s'excuser. Je ne sais même pas pourquoi il s'excuse et je ne comprends pas de suite ce qu'il dit.

"Je suis désolé, je n'aurais jamais du te laisser seul, je m'en veux tellement, jamais je ne pourrais me pardonner....." et il continue pendant des heures ou quelques minutes je ne sais pas. J'ai finis par me rendormir dans ses bras.

Seulement je suis réveiller  par un cauchemar ou un souvenir je ne sais pas trop, je ne veux pas savoir. Fred est toujours là et il me relève et m'empêche de me noyer dans mes larmes. Il se met à pleurer aussi et il me dit que ça s'arrange avec le temps. et je comprends, lui aussi il a souffert comme moi. sauf que lui il n'a pas pu s'échapper à temps.

"Calme toi Harry, je sais combien c'est dur, que tu as mal et que tu veux mourir mais n'y pense pas. pas pour l'instant." il continu pendant quelques minutes puis je ne sais pas trop comment il me raconte ce qui lui est arriver.

"tu sais je ne voulais pas vous laisser seuls avec Ron et Hermini, je n'ai pas choisis, j'aurais du être plus fort. mais c'était nécessaire, enfin c'est ce qu'à dis Dumby quand il a du justifier à mes parents pourquoi je devais être lier le plus rapidement possible"

Et c'est comme ça que mme pompom m'as administré mon traitement, Fred parle et je l'écoute. Il m'explique alors qu'il c'est lier avec Cédric un ancient élève  de Pouffsoufle très  gentil et compréhensif apparemment il s'occupe bien de mon grand frère et ils ont réellement des sentiments l'un pour l'autre malgré  leurs débuts étrange.

Comme les parents Weasley n'ont pas compris au départ que ce n'était  pas une suggestion mais un ordre que leur donnait bubus. Donc lorsque Fred n'est pas revenu de la bataille final, ils ont pleurés sa mort. La réalité  diffère pourtant beaucoup du mensonge de dumby. Durant la bataille le vieux fou avait tout simplement transplanné devant le premier jumeau Weasley et l'avait kidnappé, ils étaient arrivés dans les cachots de Poudlard ou le vieillard l'avait laissé trainer quelques jours attendant que les chaleurs du jeune homme se déclenche . Celle-ci étant trop longues à venir, le directeur pris une decisions radical, il déclencha  lui même les chaleurs à l'aide d'une potion glissée dans l'eau seule chose autorisé à ses "protégés". oui ses car Fred était  loin d'être seul. en effet une douzaine de jeunes étaient enfermés avec lui. Alpha, Beta ou Omega cela n'avait pas d'importance. Parmi eux le plus âgé  Cedric et Fred, le reste ne devait pas avoir plus de 5 ou 6 ans. C'était  de futurs élèves  que le déranger qui leur servait de tuteur avait enfermé pour crée de parfaits automates.

Ce que Fred ne sue pas sur le moment fu comment Cedric qui était dans la cellule enface de la sienne se retrouva sur lui à le déshabiller. Il avait tenter de se défendre mais ses chaleurs avait débutées depuis plusieurs jours déjà et l'avaient épuisé. Alors il s'était laissé faire tout en essayant de protéger son coup de la mâchoire de Cedric. malheureusement après plusieurs heures il sombra et lorsqu'il se réveillât en sentant du liquide entre ses jambes et surtout à la base de son coup il se mit à paniquer, à raison. Sa panique avait réveillée Cedric qui n'avait plus conscience de rien depuis le début des chaleurs de Fred, il était entré en rut dès qu'il avait senti l'odeur du roux. Il avait tout de suite senti la détresse du jeune Weasley et s'était relevé, il ne s'attendais cependant pas être nu dans la cellule du jeune homme à ressentir ses émotions.

Fred faisait une crise d'angoisse et criait, il ne pouvais pas respirer, il avait mal, mal partout son corp était endolori, son coeur meurtri. Cedric ne compris pas pourquoi mais tout ses instincts le poussèrent à protéger l'omega qui paniquait devant lui. Pas seulement l'omega, son omega, son compagnon. Lorsqu'il compris ce qu'il c'était passé il s'éloigna de Fred le plus possible et même s'il voulait lui parler il se tût attendant que le rouquins se calme. Calme qui ne vint jamais puisque Fred suffoquait, l'omega en lui ne comprenait pas pour quoi l'Alpha qui l'avait revendiqué quelques heures plutôt se sentait dégouté, en colère, ne pas pouvoir gérer les émotions de son oméga, du jeune homme dans sa cellule mais aussi le choc et les souvenirs de la nuits le firent tomber dans les pommes (littéralement)

Cedric tentait de calmer les sentiments qui le submergeait  tout autant, il senti cependant son lié paniquer et s'évanouir devant ses yeux. il voyait sa nouvelles moitié  s'effondrée et c'était de sa faute, il avait perdu le contrôle.  Dumbasadoor les a laissé ensemble dans cette cellule pendant des semaines. Fred se laissait mourir et Cedric ne l'approchait pas par peur de le blesser à nouveau. Si Fred avait pardonner à Cédric ses actions, il lui restait des séquelles, et son lié ne se pardonnait pas de l'avoir blessé. S'ils s'entendaient plutôt bien, ils ne mentionnaient jamais la façon dont ils s'étaient lier, seulement le calme qui s'était installé ne dura pas. les chaleurs de Fred n'étaient  plus stable du au medicaments de l'autre tarré. Cette fois Cedric fut plus doux même s'il ne se contrôlait pas. (ça n'excuse pas le fait qu'il le face sans le consentement de Freddy)