Chapitre 18

303 28 4
                                    

CHAPITRE 18

Une fois arrivé devant la salle de réceptions, on est allé à l'entrer et on nous a tendu des badges avec le petit symbole écolo

Aidan : soyer sage hein

Aeryne : oui

Hortense : c'est pas comme si on était folle

Elles s'en vont et Tristan essaye de s'éclipser aussi

Moi : toi tu restes ici

Tristan : c'est pas juste

Il croise les bras et un serveur s'approche de nous avec des coupes de champagne, je tends mon bras pour en prendre une mais la main d'Aidan me coupe

Aidan : interdiction toi

Moi : bah pourquoi ?

Aidan : le dernier gala auquel tu es allée tu as fait un blackout

Je fais comme mon fils et croise les bras

Aidan : on a des gens à saluer mes boudeurs

Pff... j'aime pas ses choses-là. La plupart des personnes sont des hypocrites en plus. Un gala sur l'environnement alors qu'ils ont des voitures qui pollue le plus, des costumes fait avec de la laine d'alpaga qui vient d'un autre pays, a été apporter en avion... et j'en passe.

Aidan : chérie ?

Moi : oui, désoler je réfléchissais

Aidan : je te présente Antoine et Marie, ils seront assis avec nous

Oh, génial, je vais devoir me taper une femme riche qui pense qu'à ça

Marie : enchanter, j'ai vu votre dernier film il est incroyable

Moi : merci beaucoup

Antoine : comment toutes ses idées vous viennent ?

Moi : la drogue

Ils me regardent avec des grands yeux

Moi : c'était une blague, à vrai dire... je n'en ai aucune idée

Antoine : allons boire un verre

Ils partent devant et je sens qu'on me tire le bras

Tristan : maman c'est qui ?

Moi : des hypocrites

Tristan : ...sérieusement

Moi : j'en ai aucune idée

Je les rejoins avec mon fils, prend une coupe de champagne sous le nez d'Aidan qui ne peut rien dire et je la bois d'une traite pour faire passer la discussion

Antoine : vous savez, les yachts sont moins polluants de nos jours

Marie : le nôtre à du bois de châtaigner qui vient d'un petit artisan local en France

Aidan : oui... effectivement

Antoine : vous êtes déjà partit là-bas ?

Moi : oui, je suis même née là-bas

Marie : c'est donc ça votre petit accent. Les Français ont un chic c'est fou, comme vous d'ailleurs

Moi : si vous le dites

Marie : il faut absolument que vous me racontiez comment est la vie en France

Elle me fait signe de la suivre, je regarde mon mari qui me dit d'y aller et me dirige vers elle à contre cœur. Je m'assoie sur la chaise qui m'est destiner et attrape une autre coupe

Ma Folle Histoire d'Amour TOME 4Où les histoires vivent. Découvrez maintenant