Chapitre 125 🗝️ je déteste quand tu m'ignore

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Je retire mes vêtements plein de terre le temps que l'eau de la douche chauffe, une fois déshabillé je me détache les cheveux et je me glisse sous la douche et je soupire de fatigue

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Je retire mes vêtements plein de terre le temps que l'eau de la douche chauffe, une fois déshabillé je me détache les cheveux et je me glisse sous la douche et je soupire de fatigue. Je me savonne pour enlever la terre que j'ai sur le corps. Une fois propre je sors de la douche et je m'enroule dans une serviette propre puis je sors de la salle de bain pour m'en aller directement dans la chambre pour m'habiller.

Je met mes sous vêtements avant de regarder dans l'armoir quoi me mettre pour aller chercher Kuchel au manoir. Livai entre dans la chambre au moment où je sors une tenu de l'armoir son regard s'attarde sur mon corps plus précisément sur mon ventre. Je m'empresse de m'habiller en sortant de la pièce je dis à Livai.

Kora : je vais chercher Kuchel va te laver. Dis je encore énervé.

Je voyais bien qu'il voulait me dire quelque chose mais j'étais encore énervé contre lui et je ne voulais pas prendre le temps de l'écouter. Je prend mon manteau et je l'enfile rapidement avant de quitter la maison et de partir en direction du manoir pour récupérer Kuchel. Une fois arrivé au manoir Rosaline m'ouvre la porte et me regarde inquiète.

Rosaline : tout vas bien mademoiselle vos cheveux sont encore trempé et vous avez le visage cerné.

Kora: oui ne t'inquiètes pas...

Rosaline : vous n'êtes pas venu avec Monsieur Ackerman ?

Kora: disons qu'on c'est un peu disputé. Dis je en détournant le regard.

Rosaline: voulez vous entrer un peu pour prendre une collation.

Kora: non je vais rentrer je suis fatiguée. Dis je en forçant un sourire.

Rosaline : bien je vais vous ramener Kuchel.

Kora: merci Rosaline.

Rosaline revient avec mon bébé dans les bras. Je souris en voyant ma petite Kuchel, je la prend dans mes bras et je salut Rosaline avant de reprendre ma route vers la maison. Kuchel était habillée chaudement car le temps était frais, et je la blotti contre moi pour la maintenir au chaud.

Je marchais tranquillement dans la rue, il commençait à faire sombre et je ne me sentais pas tranquille dehors seule avec Kuchel dans les bras. D'un coup quelqu'un me tire le bras dans une ruelle je commence à paniquer je tiens fermement Kuchel dans mes bras qui commençait à se mettre à pleurer certainement en sentant mon stresse monté.

Je mis un énorme coup pied dans la jambe de mon agresseur. Je l'entend grogner de douleur, mais étrangement au lieu de m'attaquer cette personne me prend dans ses bras et c'est là que je le reconnu. Je soupire de soulagement en sentant l'odeur de Livai je relève la tête vers son visage et il me dit.

Livai: je l'ai bien mérité ce coup de pied.

Lorsque mon regard s'ancre dans le sien je sens mes yeux commencé à me piquer et instinctivement je cache mon visage contre son épaule. La pression que j'avais eu redescend j'avais eu très peur, qu'on fasse du mal à Kuchel. Cette pression qui redescendait me donnait envie de pleurer mais je serre les dents.

In the night (Livai)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant