Il s'avance dans un couloir sombre, qui mène à un grand escalier. Je le suis à la trace par peur de me perdre.
Une fois les escaliers montés, on arrive devant une grande porte, son bureau je suppose.
Il l'ouvre et se décale pour que je puisse y rentrer à mon tour. Referme la porte et s'avance vers son bureau.
Bordel. C'est immense ici. Il y a deux canapés avec une table et plusieurs alcools disposée dessus. Une grande baie vitrée qui laisse place à une vue incroyable. Un bureau, noir et spacieux est placé juste à côté de ses baies vitrée. La pièce est sombre et montre la puissance. Dans quoi je me suis encore foutue.
Il s'installe sur sa chaise, et me montre du menton les chaises devant son bureau pour que je mais installe. Ce que je fais. Plus vite c'est réglé, plus vite je rentre chez moi.
-Mon argent, dis-je agacer du temps qu'il prend.
Il me lança un regard menaçant, je rêve où c'est pour me faire taire. Qu'il ne me cherche pas.
Il se penche vers les tiroirs et sors une mallette. MON ARGENT ! Enfin.
Je lâche un soupir de satisfaction.
Il pose la mallette sur son bureau et la pousse pour qu'elle arrive devant moi.-Tout est le dedans, me dit-il.
Je la prends et l'ouvre doucement, je vois pleins de liasse de billets.
Je me lève après avoir pris la mallette dans ma main.
-Merci, dis je en me dirigeant vers la porte.
Il se lève à son tour sous mon regard interloqué. Il s'avance jusqu'à moi.
-T'as danse était superbe, me dit Aaron avec un sourie malicieux.
Beau. Psychopathe. Charmeur. Effrayant.
C'était une salade de fruits à lui-même.Mensonge. Il ment. Danse. Moi. Horrible.
Mensonge.
Il ment.
Danse.
Moi.
Horrible.Je ferme les yeux pour me reprendre et pose délicatement mes mains tremblantes sur la poignée. Je lui sourie timidement pour le remercier, avant de sortir.
Je marche dans le couloir, je descend les escaliers.
J'arrive dans la salle de respections.Je voie directement Maria danser avec Carlos.
Ils se sont bien trouvée tout les deux.J'ai fortement envie de rentrée à l'hôtel. Je suis fatigué. Mais je ne veux pas déranger mon amie. Elle passe un bon moment. Elle.
Le temps passe, et je m'ennuie de plus en plus. J'ai toujours la mallette avec moi. Je ne la lâche pas. Je vois Aaron sortir du même endroit où je suis sortie quelque temps plus tôt.
Il me voit et se dirige vers moi. Non.Je prends mon téléphone pour commander un taxi et pour lui montrée que je suis occupée.
Il est maintenant devant moi. Il prend la parole:
-Ada... Tu ne vas pas rentrez en taxi quand même.
Mais comment il sait ça ? Il a regardé mon téléphone, l'enfoiré.
-Premièrement, ne regarde pas sur mon téléphone c'est impoli. Deuxièmement, si, mon amie est occupée avec Carlos.
Il se tourne pour voir lui même ce que j'affirmais. Et il sourie en les voyants.
Mon dieu. Se sourie est sublime.
Reprend toi. C'est un psychopathe. Il te suis partout.-Je te déconseille de prendre un taxi avec une grosse somme d'argent sur toi. Ça peut être dangereux, me dit Aaron.
Mais pour qui il se prend. Pourquoi il se mêle de ma vie. Retourne dans ton bureau.
Mais il n'a pas tort. Je dois trouver un autre moyen de rentrée. Mais Maria est vraiment occupée et je ne veux pas encore lui casser son cou.-Je n'ai pas le permis. Et je ne vais pas déranger Maria, dis-je.
-Je peux te ramener...moi, me répond subitement Aaron.
Oui.
Non.Après tout, Maria est avec Carlos, si je le préviens que c'est Aaron qui me ramène ça va normalement.
-Hum...je veux bien. Mais seulement parce que je n'ai personne qui peut me ramener. Mais qui me dis que tu ne serais pas fou qui va me kidnapper ? dis-je.
Il esquisse un sourire en coin.
-Personne. Ma fai bene a diffidare, mia cara.
(Mais tu as raison de te méfier, ma chère.)Il vient de parlais en italien, et je n'ai rien compris. Du tout.
Je me reconcentre sur mon téléphone pour écrire un message à Maria. Je la préviens que c'est l'amie de Carlos, Aaron, qui me ramène et qu'elle ne doit pas s'inquiéter. Je lui dis aussi de faire attention à elle.
Je remonte ma tête vers Aaron et lui dit:
-C'est bon. On peut y aller.
Il hoche la tête. On se dirige vers la grande porte qui nous permet de rentrer dans la salle de réception. Il me conduit vers une berline noir.
On monte dans celle-ci. Moi coter passager et lui coter conducteur.Il me demande mon adresse, je lui donne et il la mais sur le GPS.
Il démarre en trombe, ce qui me fait pousser un petit crie. Et lui il sourie d'amusement fasse à mon crie.La route est longue, je suis fatigué. Très fatigué. Ma tête posée contre la vitre. Je m'assoupis sans pensée que je suis dans la voiture d'Aaron.
Je sens la voiture s'arrêter. Je me réveille subitement. Je regarde autour de moi et remarque qu'on n'est pas dans la rue où se trouve l'hôtel. Mais plutôt dans une allée. Ou se situe un manoir au bout.
Qu'est-ce que je fous là moi ?
je me tourne vers Aaron et fronce les sourcils.
-Où est-on ? Je n'habite pas ici, dis-je perdus.
Il se tourne vers moi. Un rictus aux lèvres. Il me regarde bizarrement.
-Tu aurais dû vérifier qui j'étais avant de monter dans ma voiture.
Mon souffle se coupe. Je panique. J'ai peur. Mon corps est pris de tremblement. Je sens la crise d'angoisse arrivée.
Non.
Je ne veux pas.
Non.
Je ne veux pas.
Non.
Je ne veux pas.
Non.
Je ne veux pas.
Non.
Je ne veux pas.Non pas comme eux, pas encore.
Maria. Maria ? MARIA ?
J'ai besoin d'aide.
Aide.
Aide.
Aide.
Aide.
Aide.Je le regarde ahurie. Mon Dieu.
-Aller ne dis pas n'importe quoi et ramène-moi chez moi. Aaron, dis-je.
Mais au lieu de ça, je le vois prendre quelque chose dans sa poche. Il sort une seringue. Quoi ?
Il attrape ma nuque alors que je me débats. Il approche la seringue de mon cou.
Je lui hurle de ne pas faire ça. De mon lâcher mais il ne le fait pas. On contraire. Il sourit.
AIDEZ-MOI.
AIDEZ-MOI.
AIDEZ-MOI.
AIDEZ-MOI.
AIDEZ-MOI.La seringue est proche, beaucoup trop proche de mon cou, l'aiguille s'enfonce, une sensation de liquide froid se fait ressentir dans mon cou, et il me dit:
-Sogni d'oro Ada. (Fais de beaux rêves Ada.)
Puis je sens mon corps s'affaisser, mes paupières devenir lourdes, mes yeux révulsés, ma bouche s'assécher. Et je me laisse porter, vers un endroit inconnu.
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AMORUERTE
Storie d'amoreElle est son obsession, et ce depuis des années. Il l'a vue, et il la voulait. Ada décide de partir en vacances avec sa meilleure amie. En Italie, leurs rêves se réaliser enfin. Il l'a vue ce soir là, en boîte de nuit. Il avait tout fait pour la rev...