"Bébé... tu sais," Tu as attrapé l'une des larges épaules de Mirio avec une main légère comme une plume. Il n'a pas reconnu votre toucher, mais a relâché la tension dans le haut de son corps sous vos doigts. Avec cette réaction à l'esprit, vous avez complètement glissé vos bras sur son dos, frottant des cercles lisses dans ses omoplates. "Je sais que les choses ont été beaucoup ces derniers temps," Tes mains se déplaçaient pour enrouler tes bras autour de lui dans une étreinte serrée sous ses bras, le visage s'écrasant dans son dos, entre ses omoplates. "et je sais qu'une relation, aussi gratifiante soit-elle, peut être..." Vous avez pris une profonde inspiration, s'arrêtant pour réfléchir à vos mots un instant de plus. « un peu éprouvant. Si vous avez besoin d'une pause, je comprendrais tout à fait. Je continuerai à t'aimer et à te soutenir à chaque étape du chemin. » Tu as placé un doux baiser sur l'épaule de Mirio, savourant le soupir détendu qu'il a émis.juste pour toi , que ce soit pour faire face à tout ce qui se passe ou pour te retrouver après tout ce que tu viens de traverser, je ne te détesterais pas.
"Tu ne le ferais pas ?" Il a croassé. On pouvait dire qu'il était au bord des larmes à cause du tremblement dans sa voix.
"Non pas du tout. Je t'aimerai toujours et je me soucierai toujours de toi. C'est parce que je t'aime et que je tiens à toi que je pense que si tu as besoin de temps pour toi, tu devrais le prendre.
"Merci." Il murmura. On pouvait dire que les larmes avaient finalement coulé de ses yeux. Tu embrassais ses deux joues humides, resserrant ton étreinte. Il s'est permis un dernier baiser doux-amer de votre part. "Je vous aime."
"Et je t'aime." Vous avez fait écho. « N'aie pas peur de moi simplement parce que tu as besoin de temps pour toi. Même si nous ne sommes pas ensemble, tu peux toujours me contacter et me parler. Si vous avez besoin de quelque chose, je veux que vous sachiez que vous pouvez toujours compter sur moi. Tes doigts ont transpercé ses mèches de cheveux dorés. « Et quand vous serez dans un meilleur endroit, si jamais vous avez envie d'essayer à nouveau, appelez-moi. D'accord?" Il hocha la tête, se penchant un peu plus loin vers ton toucher.
"Je le ferai." Il vous a chuchoté, ponctuant sa phrase d'un doux baiser sur votre joue. C'est une promesse.
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Quatre ans se sont écoulés depuis la dernière fois que vous avez entendu parler de Mirio. Il se débrouillait bien en tant que pro, utilisant son caprice avec la même précision incroyable qu'il avait au lycée, presque comme s'il ne l'avait jamais perdu. Vous supposiez par ce fait qu'Eri allait bien pour elle aussi. Votre esprit est revenu à lui, l'interview qu'il a donnée aux informations locales diffusées sur votre télévision s'est lentement transformée en bruit blanc comme vous l'avez fait. Cela arrivait de temps en temps, et à chaque fois vous vous réprimandiez intérieurement pour avoir été assez stupide pour continuer à vous lier à lui. Vous aviez depuis longtemps convenu que vous n'alliez pas entendre parler de lui, mais les dernières lueurs d'espoir se manifestaient toujours en repensant à la conversation que vous aviez eue peu de temps après sa sortie de l'hôpital. Tu avais vraiment besoin de le laisser partir.
Vous avez changé de chaîne pour un feuilleton de jour, revenant à remplir et à classer des documents pour le travail de bureau que vous aviez pris dans une agence de héros après avoir obtenu votre diplôme. Peut-être que la vie de héros n'était pas faite pour vous après tout, mais vous avez pensé que vous pourriez aussi bien mettre à profit votre connaissance de l'industrie. Le bruit ambiant de la télévision a bien servi à maintenir votre flux de travail jusqu'à ce qu'il commence lentement à vous endormir.
Vous vous êtes réveillé près de trois heures plus tard avec une sonnerie stridente résonnant sur les murs de votre appartement. Et un autre. Et un autre peu de temps après. Il a fallu trois sonneries pour sortir de votre état de délire avant que vous ne reconnaissiez le son comme votre téléphone.
