"LAURINE!! OUVRE CETTE FOUTUE PORTE! Cela fait UNE SEMAINE que tu ne vas pas au lycée et que tu ne réponds pas à mes sms! tu pourrais au moin me répondre? Au point que tes parents m'appelent pour venir te voir s'est qu'il y a un problème tu ne crois pas?
-Anaïs rentre chez toi ça ne sert à rien de discuter, je suis très malade, j'ai de la fièvre et je n'arrête pas de vomir c'est horrible.
-AH mais ça je suis au courant! mais ta mère m'a dit que tu n'es pas malade, elle a prit six fois ta température et tu vas très bien et que le seul problème qu'elle voit c'est ton moral. ALORS OUVRE CETTE FOUTUE PORTE!
-Non je n'ai pas envie de discuter.
-Je ne partirais pas tant que je n'ai pas parlé avec toi. Tout le monde s'inquiète pour toi à l'école! même Marion m'a demandé de tes nouvelles, tu vois à quel point cette histoire est dingue? Elle est devenue bizarre depuis qu'elle est avec Will, elle est devenue gentille, tu loupes ça quand même.
-TANT MIEUX! JE M'EN FICHE DE LEUR VIEUX COUPLE LA!
-Nous y voilà alors..
-Quoi?
-Laisse moi entrer.
-La porte n'est pas fermé depuis le début je te ferais dire."
Elle ouvrit sauvagement la porte puis me vis par terre collé à ma fenêtre courra vers moi.
"Mais tu te moques de moi là? Depuis vingt minutes j'attend devant ta porte en pensant que s'est fermée puis tu finis par me dire que s'est ouvert depuis le début? Oh puis qu'est ce que tu pus mon dieu! Cas de force majeur! Tu as vue ta tête? tu es horrible ma pauvre!
BON A LA DOUCHE!"
Après que Anaïs ai prit une heure à me forcer à me sortir de ma chambre pour prendre une douche, me maquiller puis manger quelque chose. Elle décida de m'emmener prendre l'air dans le parc pas loin de chez moi.
"Bon Laurine, raconte moi ce qui s'est passé à la soirée pour que tu sois dans un état comme ça.
-Tu as vue avec qui j'ai dansé ce soir là?
-Oui!!!!!! il fallait justement que je te dise! vous étiez magnifique! c'était merveilleux mais c'était qui surtout?!?!?!?!
-C'était Will figure toi.
-Non mais raconte???"
Après lui avoir raconter la danse, puis la discution que j'ai eu avec lui juste après pour ensuite finir en beauté avec le baisé donné à Marion pour me rendre jalouse.
"Wouaw! C'est une histoire de dingue que tu me racontes là!
-Oui mais c'est horrible surtout! Je ne veux plus revenir au lycée après ça! Je me sens tellement mal puis en plus je crois que je ne pourrais pas supporter Will et Marion ensemble.
-Tu sais, je savais depuis le début que tu en pincais pour lui, ça se voyait. Tu avais beau dire le contraire en disant qu'il était horrible et qu'il te regardait mal mais ton comportement envers lui ne trompe pas et ta façon de le regarder non plus. D'ailleurs en parlant de ça tu sais le poème que tu dois faire avec lui? Il a été reporté à Vendredi prochain. Le professeur a décidé ça avec Will. Comme ça, ça vous laisses le temps de réviser ensemble, enfin voilà quoi.
-Mais je ne veux plus faire ça maintenant, avec tout ce qui s'est passé puis en plus si je faisais ce poème avec lui, que penserait Marion sérieusement.
-Laurine ceci est du travail, tu n'as pas le droit de négliger ça. En plus tu aimes beaucoup la poèsie ce serait dommage de ne pas le faire surtout que je suis sûre que ça doit donner quelque chose de géniale à vous deux. Puis si tu décides de ne pas le faire, Will va savoir que c'est pour ça alors, il aura gagné un peu.
-Oui tu as raison. Tu donnes vraiment les meilleurs conseils toi. Bon dès lundi je reviens en cours, et je donne tout ce qu'il faut pour être la meilleure.
-Je préfère entendre ça."
Ce week-end j'ai travaillé de arrache pied le poème afin de le rendre merveilleusement bien. Et je sais que demain je vais devoir revenir en cours, et j'appréhende beaucoup le fait de revoir Will. J'espère qu'il ne va rien se passer.
Il est l'heure que je me lève, il est sept heure et demi, après avoir prit une bonne douche et mettre préparé il fallait que j'aille prendre le bus. Enfin rentrer dans le bus je vis Marion dans le fond qui me faisait un grand sourire, je décide de m'installer tout devant afin de na pas supporter ces gacassements inutils. Arrivé au lycée je fus heureuse de retrouver Anaïs et Grégoire qui m'attendait chaleuresement les bras ouvert.
"Nous sommes contents de te revoir parmit nous Laurine, Anaïs m'a expliqué tu n'as pas à t'inquièter, je suis persuadé qu'il ne t'arrivera rien aujourd'hui.
-Merci de votre soutient."
J'avance près de mon casier lorsque je vis au loin arrivé Will et Marion, main dans la main. Je fais vite pour ramasser mes affaires et je me mis à courir vers la classe. Ouf! Je pense qu'ils ne m'ont pas vu. J'ai passé la matinée à éviter toute approche ou même regard avec Will ce que je réussie avec succés jusqu'au moment ou nous devions prendre le bus et que forcément il a fallut que aujourd'hui monsieur hyguto me lâche en retard, lorsque je sors et que je courru pour prendre le bus Marion n'était pas là (une chance) mais il ne restait plus aucunes places sauf une à côté de Will. Je décide à contre-coeur d'aller à côter de lui. Le voyage ce fit dans le silence, je ne me tournais jamais vers lui et j'avais mit ma musique assez fort pour ne pas l'entendre au caou si il décidait de me parler. Quand je suis descendus du bus, il y avait Will juste devant moi. Mon téléphone n'avait plus de batterie, du coup je fis la route sans. Lorsque Will arriva devant sa maison il fit demi tour nette vers moi. J'essayai de le contourner jusqu'à qu'il m'attrape le bras.
"Aïe!!! mais tu es dingue de m'attraper comme ça.
-Je suis obligé sinon tu ne te serais pas arrêté. Tu es au courant pour le poème pour vendredi?
-Ouais ouais Anaïs me l'a dit.
-Ok tant mieux bon..
-Ouais ouais salut."
Je me détache de son etreinte jusqu'à que je l'entendis derrière mon dos
"D'ailleurs Laurine, je voulais te dire je suis ravi que tu sois revenue au bout d'une semaine, je suis déçu qu'il t'a fallut tout ce temps pour te remettre de la soirée. Et puis sympa ta petite course ce matin dans le couloir pour éviter Marion et moi, j'ai trouvé ça plutôt drôle."
IL M'ENNERVE! Je ne peux plus le supporter, je n'ai même pas répondu et j'ai continué ma route jusqu'à chez moi où je me dépéchis d'appeler Anaïs pour lui raconter ce qu'il vennait de ce passer.
