Mariage forcé avec mon cousin

Chap 1

*PDV DE NDEYE AMY*

Tout a commencé un samedi du mois de Juin. Notre famille était calme, heureuse et soudée mais un événement va faire que je vais me marier de force avec mon cousin et sous la décision de mon père.

Maman : Ndeye Amy, démal wakh sa papa mou diokh la dépense bi ngua dem dougui marché. ( Ndeye Amy, va demander à ton père la dépense et va faire les courses au marché.)

Je partis demander la dépense quotidienne à mon père. Quand cela fut fait, ma mère me dit les ingrédients que je dois acheter. Je partis. En chemin, qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant ma meilleure amie Aïcha.

Moi : Aïcha, nagua def. Ba yagui si diam ? ( Aïcha, comment vas tu ? J'espère que tu vas bien.)
Aïcha : Ah kharit sama magui si diam. Rare gua temps yi. ( Ah mon amie je vais bien. Tu es rare ces temps ci.)
Moi : Je suis juste occupée avec les tâches ménagères à la maison. Je n'ai pas de repos rek mo takh.

Nous continuâmes à discuter jusqu'a finir nos courses et rentrons chacune chez nous.
Quand je suis rentrée, ma mère me réprimanda pour mon retard et je lui expliqua qu'il y avait beaucoup de monde.

Ma mère : Ndeye Amy, Oumy, kaylène rakhassal ma dab yi. ( Ndeye Amy, Oumy, venez me laver les bols. )
Moi : On arrive maman.

Après avoir fini, nous allons dans notre chambre.
Mon frère Bab's entre dans la chambre.

Moi : Yaw, do feugeu bala ngaye dougue. Khalé Bou rew bi gua done. Tchipp. ( Toi, tu ne frappe pas avant d'entrer. Enfant impoli que tu es.Tchipp.)
Bab's: Cheutt. Mane wakhoumalène lolou. Sa ma papa Ndeye Amy néna gua dem retrirel ko Orange money. ( Je ne vous parle pas de ça. Mon père à dit que tu ailles lui faire un retrait Orange money. )
Moi : Bab's moytouma. Hummhuun.( Bab's fait attention à moi. Hummhunn.)

Sur ce je me levais et allais faire la commission.

*** : Pssst. Khalé Bou rafet. ( Psst. Belle fille. )

Sans me soucier de celui qui m'appeler, j'accélèrais mes pas.

*** : (attrape ma poignée) Mais dou yaw lay wakhal. Khana dégoma? ( Mais ce n'est pas avec toi je parle ? M'as tu entendu ?)

Moi : Si mais je ne parle pas avec des imbéciles comme toi qui drague n'importe qui.

***: Kane ngaye saga? Do To sagati Ken sa adouna. ( C'est moi que tu insultes ? Tu ne vas plus jamais insulter de ta vie. )

Il lève sa main pour me gifler mais je le frappe dans l'entre jambe et m'enfuis. Le temps pour lui de se lever ,j'étais loin et il se mit à m'insulter. Je rentre à la maison donné l'argent à mon père. Je racontais l'histoire à Oumy.

Oumy: Bien fait. Goor rou tayi, dokhane rek. Est ce que sakh amoul guel. ( Les garçons d'aujourd'hui ne pense qu'à faire la cour aux filles. Est ce qu'il n'a pas même une copine ?)

Moi : Il pensait que j'étais une fille facile. Mane dama âme loumay bagne. Te khamgua sou ma ko défoul wone wa kogne bi gagné koy dieulé nenen tait fi khew khew si nougne fi gawé.( Moi, j'ai des principes. Et puis tu sais que si je ne l'avais pas les gens du quartier vont sûrement penser autre chose et tu sais comment les nouvelles vont vite ici.)

Ma mère nous appelle pour le repas . Nous mangeons en silence. On frappa à notre porte. C'était tonton Lamine ,un ami de mon père.

T.Lamine: Assalamoualeykum !

Papa: Moualeykum Salam! Lamine kay agne. (Lamine viens partager notre repas. )

T.Lamine : Bakhna. Lenn mo ma fi indi. Mouy sa dome dji, Ndeye Amy ! ( C'est bon. Quelque chose m'amène. C'est ta fille ici présente, Ndeye Amy. )

Papa : Néné ?

T.Lamine : Ah bett na ma torop. Dekketé mome yarouam bi ay kathie la. Mom nek si béd bi di farantou la fi néké. ( Ah elle m'a déçue. Je viens de savoir que sa politesse n'est que mensonge. Elle vagabonde dans la rue à la recherche d'un amant. )

Papa fronça les sourcils tandis que tonton Lamine sortait une photo de moi et de ce garçon quand il m'a attrapé la main.

Moi : Papa li dou...li...li gua fogue. Moun...( Papa ce n'est...pas...pas ce que tu cro...)

Papa : EH NOPIL. AMO LOY EXPLIQUER FI. PHOTO YI WAKH N'A LEPP. ANH...KONE YAW LI NGAYE DEF SO NEKOUL SI KEUR GUI. TAY LA LA DOR BA GUA AM AY MANDARGUA. Lamine meune gua deme. ( EH TAIS-TOI. TU N'AS RIEN À DIRE. CES PHOTO ONT TOUT EXPLIQUER. ANH C'EST CELA QUE TU FAIS QUAND ON T'ENVOIE EN DEHORS DE LA MAISON. JE VAIS TE FRAPPER JUSQU'À TE LAISSER SES TRACES SUR TON CORPS. Lamine tu peux partir. Merci pour l'information. )

Au moment où Tonton Lamine partit, mon père me train a jusqu'à sa chambre et ferma la porte à clé. Il me tous de coup.

Moi : WOUY...PAPA...DEFOUMA DARA. YAYE BOY WAKH KO. ANHH...Nguir YALLA BA YI MA. PAPA DOU LOLOU BA YIL M'A WAKH LA...( WOUY...PAPA...JE N'AI RIEN FAIS. MAMAN DIS LUI. ANHH...POUR L'AMOUR DE DIEU LAISSE MOI. PAPA CE N'ESY PAS ÇA LAISSE MOI TOUT T'EXPLIQUER...)

PAPA : TAIS TOI. NOPIL YAROUMALA SI LI. INDIL GUAMA GUATHIÉ BOU REUY. NAN LAY KOY WAKHE ÇA KOGNE BI ? NAN ! ( TAIS TOI. TAIS TOI. JE NE T'AI PAS ÉDUQUÉ DANS CES AFFAIRES. TU M'AS TELLEMENT FAIT HONTE. DIS MOI COMMENT VAIS JE DIRE ÇA AUX GENS DU QUARTIER. COMMENT ?)

Après m'avoir énormément frappé environ 45 minutes, il ouvrit la porte et je sortis en rampant, incapable de marcher. Mon corps était recouvert de bleus. Soudain je perdais connaissance et ma mère m'attrape juste à temps pour pas que ma tête tombe sur le sol.

Maman : WOUY SAMA DOME ! MOHAMED LO KO DEF ? ( MON DIEU MON ENFANT ! MOHAMED QU'EST-CE QUE TU LUI AS FAIS ? )Mais

Oumy : NDEYE AMY, YÉOUL. ( NDEYE AMY RÉVEILLÉ TOI STP. )

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