Chapitre 2

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Ines inspecta minutieusement son visage bronzé dans le miroir suspendu dans sa chambre. Elle s'était mis un petit peu de mascara pour éclairer ses yeux et un petit trait d'i-liner pour souligner son regard. Les iris de ses yeux variaient entre le bleu et le vert qui devenaient doré autour de la pupille. Elle avait aussi disposé un petit peu de far à paupière foncé sur sa paupière mobile, pour faire ressortir encore plus ses yeux en amande. Elle avait ensuite déposé délicatement du gloss transparent sur ses lèvres fines. Son nez légèrement relevé lui donnait un air malicieux, tandis que sa mâchoire carré lui donnait l'aspect d'une femme ambitieuse, prête à tout pour réussir.

Ses cheveux lisent, originalement châtain qu'elle avait décidé d'éclaircir en blond, étaient coiffés en deux tresses collées partant du centre de sa tête. Cela permettait de montrer entièrement son visage, habituellement caché par ses cheveux.

Ines avait ensuite opté pour enfiler autour de ses doigts quatre bagues dorées très fines ornées de faux diamants. Elle avait ensuite décider de mettre son bracelet chanel avec de petites perles, qu'une de ses amies lui avait offert pour son anniversaire, sur son poignet gauche, et sur son poignet droit, elle avait mis un bracelet avec un serpent et un autre en forme de chaine. Puis, elle avait mis un collier avec deux petits coquillages suspendus.

Pour ce qui est de la tenue, elle portait un pull crop-top gris foncé, où était écrit "Malibu Beach" avec un short en jean bleu clair, attaché à la taille par une ceinture noire. Elle avait décidé de prendre un petit sac à main blanc, et l'avait positionné sur son épaule gauche. A ses pieds, elle portait de fines sandales brunes, dont les lanières montaient jusqu'à la cheville.

Après s'être observée dans le miroir pendant plusieurs longues minutes, Ines détourna le regard et se dirigea vers la table d'entrée de la petite maison qui donnait sur la mer qu'elle avait loué pour les vacances. Elle attrapa d'un coup rapide ses clés et son téléphone, posé sur la table en bois, qu'elle mit dans son petit sac. Elle attrapa aussi ses lunettes de soleil et les mit sur son nez. Elle prit au pied de la porte son sac en osier qui contenait sa serviette, une bouteille d'eau et sa crème solaire, et le plaça sur son épaule droite. Elle s'approcha ensuite d'un pas décidé vers la porte et l'ouvrit d'un geste conquérant.

Le vent marin fit voler les petits cheveux blonds qui avait glissé de sa coiffure. Mais contrairement à ce que la plupart des gens pourraient penser, l'odeur marine ne la fit pas sourire, bien au contraire, elle lui évoqua plutôt de douloureux souvenirs. Le soleil brillait dans l'immense ciel bleu et Ines remarqua que sa maison était très froide, même si cela ne lui déplaisait pas, alors qu'à l'extérieur il devait faire presque 30 C°.

Elle mit cependant le pied sur le béton qui devait être brulant si on y marchait pied nu, à force de passer son temps à soleil. Elle se retourna et ferma à double tour la petite porte blanche de la maisonnette et traversa la route étonnamment vide, pour se diriger vers la plage.

Quand ses pieds s'enfoncèrent dans le sable chaud qui se glissa entre son pied et sa semelle, provoquant une sensation assez désagréable, elle enleva ses chaussures et courut vers l'endroit où les vacanciers étaient tous regroupés, car le sable lui brulait les pieds.

Une fois assez proche de l'eau, elle installa sa serviette, s'assit dessus, enleva vite ses vêtements pour se mettre en maillot de bain, prit la crème solaire dans son sac et commença à s'en étaler.

Pendant qu'elle étalait le liquide blanc sur sa peaux, elle parcourra des yeux la plage. Toutes sortes de personnes venaient bronzées, nagées ou faire des château de sable. De nombreux enfants courraient comme des fou dans le sable, pendant que leurs parents essayaient de les rattrapés en rient a gorge déployer. Voir cela provoqua un petit pincement au cœur à Ines, elle n'avait jamais vécu ça avec ses parents. Sa mère était rapidement devenue une actrice célèbre, alors qu'Ines n'avait que 3 ans, et son père était sans cesse en voyage d'affaires. La seule raison pour laquelle il lui avait adresser un coup de téléphone, c'était pour lui dire qu'il ne voulait pas qu'elle se marie avec l'homme qu'elle aimait et que si elle refusait d'arrêter les fiançailles, il la renierait.

Le jour où tout est arrivé (Percabeth AU) TOME 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant