Aujourd'hui, je me réveille...Pas d'un sommeil profond, ni réparateur,
J'aurais nettement préféré plutôt que ce cauchemar.
Crois-moi... Je réalise après avoir essayé de minimiser ta perte,
que non ce n'est pas "mieux" de te perdre à deux mois, plus qu'à six...
"Car la peine ne se mesure pas aux nombres de semaines, ou au vécu d'un bébé.
Mais à la grandeur du rêve que portaient en eux ses parents."
Avec toi, j'avais réussi à vouloir, pour toi et pour moi. Mais après ce rêve, voilà la réalité qui reviens en bombe... Tu n'es plus là...
Et j'ai l'impression que moi aussi, depuis j'ai perdu bien plus, que toi.
Se prendre en plein visage que "ton cœur ne bat plus, c'est fini pour toi".
J'ai mal quand j'y pense car j'avais, j'ai... besoin de toi.
Je ne t'en veux pas d'être partis.
Après tout ce monde est cruel.
J'ai la forte impression qu'ici c'est l'enfer, et que l'on mérite le paradis seulement si malgré toutes les atrocités qu'il y a sur cette terre, on réussit à rester quelqu'un de bien, et de faire tout son possible pour apporter bonheur et joie autour de soi...
Tu me manque, Pardonne-moi.
A jamais dans mon cœur,
car même si tu n'es plus là où tu étais,
tu resteras pour toujours dans mon cœur...
A cœur brisé, 23.03.22.