Chapitre 4

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_ Alcino

- Bonjour sœur Mariza Laurano, dis-je un sourire en coin

Le silence s'installe dans la pièce mais je m'en fou je n'es dieu que pour elle, celle qui m'a empêché de dormir toute la nuit celle qui m'a fait vibrer dans chacun de mes songes ma belle Mariza .
Elle semble tout d'abords pris de stupeur en m'apercevant puis son visage s'illumine de malice, je fronce les sourcils ne comprenant pas pourquoi elle réagit ainsi, toute fois les rougeurs sur ces joue m'indique que ma présence ne la laisse pas complétement indifférente

- Vous vous connaissez ? Demande enfin le prêtre

- Oui !

- N Non !

Nous avons répondu au même moment se qui accentue la méfiance de la vielle nonne , je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que ma délicieuse Mariza l'ai fait délibérément

- C'est oui ou c'est non , gronde la vielle chouette

- Eh bien... enfaite je... on ne se connait pas vraiment c'est pourquoi j'ai dis non , murmure t'elle d'une petite voix feintes . Contrairement au deux vieux dans la pièce je sais reconnaître lorsqu'une personne joue la comédie ce qu'elle est très bien entrain de faire pour une raison qui m'échappe

Je la regarde un sourire au lèvre si elle continue comme ça se serait très facile de la faire partir d'ici , selon les recherches menées par Zoé elle est orpheline de père et de mère et n'a que sa grand-mère pour seule famille qui selon certain dire aurais emmener de force sa petite fille intégré le couvent ,ce qui me laisse perplexe personnes n'entre dans un couvent contre son gré c'est même interdit la chasteté est une vocation toute fois elle n'a pas encore prononcer c'est vœux j'ai encore toute mes chances de la faire changer de voie, c'est ignoble je sais mais je m'en fou je la veux et peut-être qu'elle non plus ne veux pas rester ici

- Et ou êtes vous rencontrer, renchéri le prêtre un peu trop brusque à mon goût

Je le dévisage et le fusil du regard, il a intérêt à baisser d'un tons le papi je ne suis pas sa puta

- Peut importe l'endroit elle m'a aidé en soignant ma blessure c'est tout ce qui compte

- Bien venez vous asseoir sœur Mariza vous pouvez disposer, parle d'une voix nonchalante la vielle femme

Nos regards se croise une fois de plus, je lui fais un clin d'œil savourant ces rougeurs , puis je me tourne vers les deux quinquagénaire qui semble n'avoir rien rater de notre échange, ce qui me ravit au plus au point ça va être simple je n'ai pas vraiment le temps de toute façon je dois quitter Rome dès ce soir

- Alors Mr Santos vous souhaitez faire un don à notre...

- A vrai dire ce n'est pas vraiment la raison de ma visite c'était juste un moyen de vous rencontrer , susurrais je me délectant de l'effroi et l'incompréhension qui les habitent en ce moment

- Co... Comment ça ? Panique le curé

- Eh bien il me semble que vous avez vu la tension sexuelle qu'il y avait entre moi et Mariza alors je suis ici pour la chercher après la nuit de folies qu'on a passé hier soir vous en conviendrez que se serait un péché que de la laissé rester ici

- Oh mon Dieu !

- SE N'EST QUE MENSONGE ET DIFFAMATION ! Hurle le prêtre rouge de colère

Il commence à me les chauffer celui là je n'aurai pas fait une promesse à ce bon vieux pape il serait si pied sous terre

- Reparlé moi encore sur ce tons et vous partez rejoindre vos prédécesseurs dans le cimetière de la paroisse

Il se calme mais me foudroie tout de même du regard, si je ne le connaissais pas j'aurais juré qu'il l'a considère comme sa fille ou... non enfin de compte son regard est trop vicieux lorsqu'il la regarde en aurait dit qu'il veut en faire son 4h ce qui est cas

- Se sont des accusations grave que vous portez monsieur, souffle la mère supérieure décontenancé

- Oui si c'est vraiment le cas faisant donc des examens pour savoir s'il dit la vérité un médecin nous indiquera si la sœur Mariza est toujours vierge ou non

Le fumier ! Ce figlio de puta veux à tout prix me mettre les battant dans les roues mais désolé mon pépé j'avais trouvé la parade

- Bien faite le , dis-je d'une voix sereine

- Q Quoi ?

- Très bien je vais de ce pas la chercher , rétorque la vielle en quittant son bureau

- Vous raconter des mensonges Mariza n'aurai jamais fait sa elle allait prononcer ces vœux ce dimanche , continue à divaguer l'homme d'église la mine renfrogné

Je ris avant de poursuivre :
- Pourquoi faite vous cette tête mon père vous avez l'air dégoûté serait ce parce que vous ne pourrez pas la baisé ? la défloré ? comme toute les autres avant elle

- Que dite vous j...

- Ne vous fatigué pas contrairement à ce que vous pensez je vous connais très bien vous souvenez vous d'Élisabeth celle que vous avez essayé de violé avant qu'elle ne vous donne un coup bien placé dans les parties figuré vous qu'elle est la petite sœur d'un de mes hommes et si vous êtes encore en vie c'est juste que vous ne l'aviez pas touché et bien sûr parce que son frère n'es pas au courant je m'en bat les couilles de se que vous faites mais Mariza est à moi alors faites votre deuil car vous ne verrez jamais la couleur son délicieux corps voluptueux

Son visage devient livide ,pâle comme un linge il a son doute crû que sa lubie de couché avec les bonnes soeurs ne se sauras jamais ,et on dit que j'irai en enfer c'est la blague du siècle, au moin moi je ne fais pas semblant je suis pourri et cruellement mauvais je ne m'en cache pas

- La voilà nous pouvons aller voir l'infirmière du couvent et nous serons enfin fixé, crache la vielle en entrant dans la pièce Mariza sur ces talon le regard remplie d'incompréhension

Nous sortons tous du bureau et longeons le grand couloirs sous les yeux interrogateur des nonnes au alentour

- Que ce passe t'il ? Que faisons-nous ici ? demande Mariza une fois dans l'infirmerie

- Sœur Agathe s'il vous plaît veuillez pratiquer un teste sur sœur Mariza si elle est encore vierge ou non , s'exclame la mère supérieure sans prêté attention à la jeune femme

- QUOI !

La nonne et le mafieuxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant