⇩chapitre 17⇩

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J'ai attendu pendant longtemps pour qu'il me demande si je voulais être sa petite-amie, maintenant je me sens confuse.

Moi:Non..

Yalik:Pourquoi, on va essayer je te jure qu'on va réussir.

Moi:Je veux pas, je veux juste rentrer.

Il avait l'air dessus, il me lâche et monte les marches.

Yalik:Attend, jusqu'à demain, je ne pourrai pas ce soir, je suis fatiguer.

Je m'allonge sur le sofa,je me réveilla, monta enfiler mes vêtements, les premiers que j'avais laisser si vous vous en souvenez, il descend les marches sans m'adresser un mot rentre dans la cuisine ouvre le frigo pour sortir un pot de lait.

Moi:On peut y aller maintenant.

Yalik:Oui, bien sûr.

On sorta de la maison,je vous passe le trajet qui s'est passé dans un silence, pareil pour le jet, arriver à le l'aéroport, j'ai appelé un taxi et je rentra chez moi.

La semaine se passa, Rauw a porter plainte contre Yalik,les réseaux était bien joli avec cette histoire, les choses se sont empirer, je devais aller chez Paola, je sorta dans la rue, une bande de journalistes étaient déjà devant ma porte,c'était comme ça tous les jours, je me dépêche de monter dans ma voiture, j'ai appellé un argent immobilier pour essayer de trouver une nouvelle maison.

Moi:Alors.

Lui:Laisse-moi juste qu'a la semaine prochaine.

Moi:Ok, appelle-moi quand tu l'auras.

Lui:Je crois que j'ai une pour toi.

Moi:Vraiment.

Lui:C'est une superbe maison, elle te plaira dans la rue *********,un quartier résidentiel.

Moi:J'attendrai ton appel.

Je raccroche, j'étais devant chez Paola, je descend avec le cadeau que j'avais apporter et frappe à la porte, après un nombre de temps,un monsieur est venu ouvrir, je suppose que c'est son époux vue que je l'ai jamais rencontré.

Moi:Bonjour, Paola est là.

Lui:Je l'appelle pour toi.

Le mec faisait peur, il avait des marques d'ongles sur lui, Paola vient après quelques minutes, elle avait l'air bizarre.

Moi:Ça va pas.

Elle:Ça va.

Elle tremblait limite, ces deux là sont bizarre.

Moi:T'es toute bizarre, dis-moi ce qui se passe.

Elle:Il ne se passe rien.

Moi:Ne me dit pas qu'il te frappes.

Elle:Non, c'est rien, tu dois partir.

Moi:Dit le moi.

Elle prend la boîte entre mes mains et ferme la porte, elle m'a même pas laisser entrer, je tourne mes talons, je vais voir ma daronne, alors.

Je pousse la porte, je rentre la fait la bise, elle me fait asseoir pour brosser mes cheveux.

Moi:Après, je ferai pour toi, hein?

Elle:D'accord.

C'était tellement agréable quand, elle me coiffe.

Moi:Maman.

Elle:mmm.

Moi:Paola, t'a rien remarqué de bizarre dans son comportement.

Elle:Non, ma puce, sauf qu'elle vient plus souvents travailler.

Le gynécologue et la chanteuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant