~ Plus rien ne compte~ ( fanfiction the Punisher)

chapitre 4

Ça faisait à peu près deux heures que Sarah et Pit étaient sur la route. Ils ne ce sont pas adresser un seul mot, ni un seul regard, rien de tout ça. Sarah ce concentre sur sa blessures et s'endormait parfois sous l'oeil attentif de Pit. Ils arrivent devant un vieux engard abandonné, la où vivait Pit. Celui-ci sort du van et ouvre le grand garage. Sarah, seule à l'arrière commence à ne plus trop rigoler: peut-être que Pit ne disait pas que des conneries et que il savait vraiment pourquoi elle avait tuer Johnny ce soir la.

Pit remonte dans le van et voit le regard livide de Sarah

- Eh bah alors ? Ça ne rigole plus d'un coup. Tu as peur ? Demande t-il

- Ta gueule et roule. Réponds froidement Sarah en restant allonger sur le lit.

Pit lâche un petit ricanement et entre dans le grand garage. L'endroit n'a pas l'air si abandonné: il y avait une cuisine, une chambre, un endroit avec pleins d'ordinateurs et d'images qui défilait dessus. Un homme accueillent Pit et Sarah avec panique.

- Ho, Franck, c'est qui elle ? Demande l'homme en panique

- Franck ? Dit Sarah en regardant Pit

- Bravo l'artiste, faire attention à son identité tu connais ou pas ? Pff tu me casses vraiment les couilles sérieux. S'énerve Pit.

- Attendez attendez, je comprends plus rien. C'est quoi cette histoire de Franck ? Tu t'appelles pas Pit a la bases ? Demande Sarah essayant de recentrer sa mémoire.

- Longue histoire. Bah maintenant que l'intello de services a ouvert sa grande gueule, tu m'appelles Franck et pas Pit. Hein, Liberman ? Demande Franck.

- J'ai peut-être ouvert ma gueule un peu trop vite c'est vrai mais c'est de ta faute ! C'est qui cette nana ? Demande Liberman

- Cette Nana est la fille et employé du mec qu'on surveille depuis plus de 4 mois. Thomas Meghan. Réponds Franck en posant ses mains sur les épaules de Sarah.

Elle se dégage froidement de son étreinte, prête à lui coller une gifle.

- Ah oui ! Le mafieux ! Mais tu veux faire quoi avec elle ? Demande Liberman

- Hé ho, bandes d'abrutis, je suis là et j'entends un peu tout ce que vous dites ! On va déjà recentrer les choses avant que monsieur musclor répondent: Pourquoi vous surveillez ma maison ? Et vous avez quoi contre mon père ? Demande Sarah, en agitant les bras pour montrer sa présence.

Les deux garçons se regardèrent étonné, puis commence à discuter entre eux faisant patienter Sarah.

- Comment ça se fait qu'elle ne soit pas au courant ? Demande Liberman

- Meghan a dû faire ça dans le dos de sa fille et de sa famille ce sale clébard. Réponds Franck

- Tu crois qu'on devrait lui dire ? Questionne son coéquipier

- Pourquoi pas ? Faut pas qu'elle réagisse mal c'est tout. Réponds Franck en se tournant vers Sarah, qui commence à voir rouge.

Il descends les deux petites marches qui les séparent l'un de l'autre et se trouve à sa hauteur. La jeune femme n'avait pas peur et n'étais pas impression. Elle a les bras croisé contre sa poitrine et regarde d'un regard noir Franck et Liberman.

- Bon, je t'ai pas amené ici par hasard. Commence Franck

- Oh, sans déconner ! Je ne le savais pas ça ! Réponds furieusement Sarah

- Laisse moi parler sans m'interrompre ou sinon je vais vraiment te casser la gueule, que tu sois une meuf ou non. Dit Franck, perdant furieusement patience

Sarah ne panique pas malgré ces mots, elle reste dans sa position et le regarde toujours aussi noir. Elle n'a pas peur de la vérité surtout sur son père. Au moins, elle n'aura pas a aller lui demander.

- Bien. On surveille ton père depuis un moment parce que, il a fait quelque chose dont il doit payer les conséquences. Thomas Meghan a été appelé par la CIA et ils ont demandé de faire une chose dont je qualifierait d'une énorme connerie qui mérite que la mort. J'ai été visé, moi et ma famille et comme tu peux le voir, je suis le seul qui a survécu. Ma femme et mes deux enfants ont été assassiné par cette bande de connards et ton père en fait parti. Moi et Liberman savons que ton père te frappe quand tu fais une erreur dans ta mission. C'est pour ça que t'as cette entaille a la joue: c'est a cause du poings américain de ton père. Raconte Franck.

Cette histoire mis Sarah mal à l'aise et la choque au plus haut point. Dans sa famille, les flics sont des traîtres, des gens à qui ont peu pas leur faire confiance. Le premier de la famille qui croise un flic doit immédiatement lui faire la peau. On lui a toujours appris ça et là, elle vient d'apprendre que son père avait coopérer avec la police pour éliminer une femme et des enfants ? Elle n'en revenait pas. Elle regarde Franck avec un regard un peu moins dur que tout a l'heure. Beaucoup moins dur.

- Je suis désolé pour ta famille. Vraiment. Dans notre famille, on ne fréquente jamais les flics alors je ne comprends pas le geste de mon père. Faut que...faut que je sorte. Dit Sarah.

Elle sort a l'extérieur pour prendre l'air. C'était impossible que son père est fait une chose pareil pourtant elle le connais assez bien pour que ce soit vraiment vrai. Elle essuie d'un geste sec, les larmes qui coulent sur ses joues. Son père est un traître, il a trahis sa propre famille pour quelque chose d'injuste. Franck la rejoins une heure plus tard, avec un plaid dans les bras.

- Le mois de novembre est froid, tu vas attraper une saloperie. Dit-il en lui le tendant.

Sarah le pris et le pose sur ses épaules puis regarde le soleil commençant à se coucher.

- Je peux pas croire que mon père est coopérer avec les flics. Putain... Dit Sarah

- Je comprends ce que tu dois ressentir, on croit connaître une personne et enfaite elle est tout le contraire de ce qu'on imagine. Réponds Franck

- Sauf que mon père, c'était un peu mon héros. Quand je le voyais rentrer le soir couvert de sang, je me disais qu'il avait accompli un super truc. Qu'il avait tuer des méchants, j'étais une gosse naïve à cette époque et puis les années ont passé et je suis devenu son larbin, son petit chien qui remue la merde et qui se fait engueuler a chaque connerie ou chaques erreurs. Je suis la coupable. Raconte Sarah

Franck l'écoutait attentivement. Il ne perdait rien de ce qu'elle lui racontait, quand la jeune femme sans rends compte, elle rit en essuyant ses yeux.

- Désolé, j'te raconte ma vie, t'en a sûrement rien à branler. S'excuse t-elle

- Non, tu avais besoin de parler alors je t'ai écouter. Je sais que c'est pas facile à digérer, ça va prendre un temps fou mais ça va passer. Réponds Franck en posant sa main sur son épaule.

Sarah lui sourit, puis elle grimaça de douleur. Du sang apparaît sur le pansement, elle avait fait trop d'efforts et elle a eu trop d'émotions. Franck l'aide à se mettre debout

- On va rentrer, t'a besoin de repos. Dit-il

Sarah acquiesce et suit Franck a l'intérieur du engard.