Une page qui se tourne c'est une nouvelle histoire qui commence

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Les déménageurs venait d'apporter les derniers cartons, dans notre nouvelle maison. La boule au ventre j'appréhendais ce moment, que j'attendais tout de même avec impatience. C'étais pour moi, le début d'une nouvelle histoire. Je fermais enfin un livre, déjà emplis de mille et un récit. Pour en ouvrir un autre, au feuille immaculée, n'attendant que le moment où je prendrai la plume du destin, pour en noircir ses pages.

L'histoire commence, dans un petit appartement dont la vue donner sur une place en face d'un petit bistrot. Dans cette appartement chacun de nous possédé sa propre chambre.

En entrant, nous avions une vue sur un long couloir qui menait directement jusqu'au salon. Dans le salon, au couleur chocolat et vert, il y avait un grand fauteuil sofa qui encadré le meuble télé. Juste en face le balcon où nous pouvions admirer la place et les gens qui y venait faire leurs marché.
Vers le fond ma mère avait choisie d'y placé une longue table rectangulaire en merisier décoré par de belle fleur dans un vase. Juste à coté, la porte de la cuisine. Qui ni trop grande ni trop petite se trouvait être spacieuse sous ses couleur provençale. En retournant dans le couloir de l'entré, à gauche de la porte on avait droit au WC suivit de la salle de bain. Dernière une première chambre celle de ma mère et en face la mienne, devancé par celle de ma jeune soeur, elle même précédée par celle de mon cadet. Dans ma chambre, les couleur de l'automne, régnait en maître. Face à la porte, mon lit encadrée par la fenêtre qui donnait sur les voisins d'en face. Juste à coté une table de nuit, suivit d'une petite commode bordeaux. En face, un bureau où quelque de mes affaires étaient encore éparpillées. Suivit d'un placart mural où j'entreposa tout ce dont je ne me servirait pas mais que je n'eut pas réussis à me debarasser.

Qui disait nouvelle vie, disait nouvelle ambition. Ma vie d'avant n'était pas celle que désire toute jeune fille de mon âge. Et avec le temps, je m'étais un peu trop renfermée dans mon monde. Passant mon temps, à lire, écrire, dessiner, peindre et j'en passe. Pas que je m'étais ma passion au placard mais je décida d'y consacrer moins de temps. Histoire de préviligier d'autre chose.

Tout commencé ici. Sans m'en rendre vraiment compte, j'étais excitée à l'idée de vivre cette vie, ou enfin je pourrais être normal.

-Kain, tu as mit le Coca au frais ? Demanda ma mère en faisant irruption de ce qui était ma chambre.
-Oui, acquiesçai-je en la regardant avec un sourire en coin. Tu vas sortir ce soir ? Questionnais-je en remarquant sa tenue.
-Tu as vue, souria ma mère les yeux pétillants de joie. Comment tu me trouve ?!
-Magnifique ! Riais-je.

Ma mère était une très belle femme, largement bien conservée pour son âge. Et ce n'est pas les trois enfants qu'elle à eut qui ont ternis sa beauté. Ma mère avait l'apparence typique des femmes du sud. De long et beau cheveux noirs, aussi brillant que de la soie. Des yeux vert turquoise, un teint de pêche et de belle lèvre nuancé de rose framboise bien dessinée. Pas très grande, elle faisait vraiment très jeune, parce que le temps n'avait pas marqué sa peau restée douce.

-Merci, rougit-elle. Demain, nous irons manger chez lui, alors...
-Je sais, soupirai-je. Ne t'inquiète pas on est prêt... Maman c'est pas parce que tu es notre mère que tu n'as pas le droit au bonheur...
-Kain ! Soupire-t-elle en se jetant dans mes bras.

Depuis qu'elle sortait avec ce fameux Taleb Cordilas, ma mère ressemblait à ses préados exité de voir leur idole pour la première fois. Elle était si belle et mignonne à la fois, que j'étais un peu jalouse. Mais en vrai, j'étais vraiment heureuse pour elle. Comme si tout était devenue si léger. Son regard pétillant et ce sourire en coin qui peinait à s'effacer, montrait à quel point cet homme la comblait. C'était d'ailleurs pour cela que nous sommes venues dans ce village. Ma mère voulait faciliter leur rencontre et rapprocher nos familles.

Un choix qui me ravit, car à présent de nouvelle perspective s'offrait à moi et pour rien au monde je ne renoncerais à cette nouvelle chance que m'offrait la vie. Le bonheur était à porter de main, j'en étais sur, je n'avais plus qu'à me laisser guider.

Le soir tombé, et encore quelque affaires par ci et par là, ce devait d'être rangé. Je déchargea mon frère de la tache pour qu'il puisse allait nous prendre quelque chose à manger.

Jared étais le second enfant de ma mère, étant donné que je suis la première. Et à son contraire lui, était très grands, enfin pour nous. Plutôt svelte, il possédait tout de même une musculature vachement prononcé. Le teint miel, il avait toujours bonne mine. Et quand il souriait, ses yeux aux pupilles émeuraude affichait un indécent regard moqueur. Jared était l'incarnation même de la moquerie. Et cela marquait son visage. Les filles aimaient se prendre d'affection, pour la tendance qu'il avait à froncer les sourcils tout le temps ce qui lui donnait un air de mauvais garçon. Ses cheveux noir et ébouriffés, ne faisait que rajouter du charme à ce garçons de quinze ans.

Luna quand à elle, avait une merveilleuse bouille encore enfantine. Des yeux vert presque bleu, rendait fou ceux qui les contemplés. Ajoutez à sa un sublime regard de peste qui est prête à vous faire un mauvais coup, et personne ne pouvait ce contenir face elle. Une peau plus foncée que celle de Jared, cela faisait ressortir d'autant plus ses long cheveux bouclées châtins, au reflet blond. Comme son aîné, elle arborait toujours un air moqueur et sournois. Surtout lorsque la demoiselle souriait en coin, il fallait se préparer à un sale coup de sa part.

Quand à moi, du haut de mes dix-sept ans fraîchement soufflée. Tout le monde s'accordait à dire que je ressemblais à une femme. Sans me vanter, mes formes assez prononcés pour certains et voluptueuse pour d'autre, arrivait à s'attirer quelque regard. Comme ma mère je possédais de long cheveux noir, qui eux avait tendance à boucler en de magnifique anglaise. Étant celle qui ressemble le plus à mon père, j'hérita de ses yeux dorée, et de son air blasée et m'en foutiste. Enfin, c'est ce que les gens me disent tout les temps. Pour eux, j'ai l'air d'une personne pas réveillée, ou rêveuse. Comme ma fraterie, j'avais le teint hâlé. Et j'avais aussi ce que l'ont peu appeler le gêne Da Souza, le gêne moqueur.

-Kain ! S'écria mon jeune frère. J'ai pris merguez et camembert !
-Ok on va manger alors, acquiesçai-je. Luna viens manger !!!

Et c'est ainsi que passa notre première soirée, dans notre nouveau chez nous.

Le lendemain matin, c'est la porte d'entrée claquant doucement qui me réveilla. Maman était rentrée. Je me leva, pour aller au nouvelle. Et c'est une femme euphorique que je découvris.

-Maman, il est huit heure, lui signifiais-je. Il ne vous est rien arrivé de mauvais j'espère...
-Non, gloussa silencieusement celle-ci. Je vais aller me reposer je suis fatiguer. Et toi, abandonne tes vieilles habitudes et va encore dormir. L'école n'est que pour dans trois jours profites.
-Ouais, assurais-je. Mais je ne suis plus fatiguée, toi vas-y va te reposer...
-Salut, lance-t-elle en ouvrant la porte de sa chambre.

Après avoir beugué quelque temps devant cette porte close, je rebroussa chemin jusqu'à la cuisine. Dans le frigidaire, je pris une bouteille de cola et la confiture. Déjeunant au calme, je pensais à rien.

Tout doucement, la chaleur de l'été laisser place au vent d'automne. Et le début d'une histoire commencait.

À la recherche du bonheurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant