À la recherche du bonheur

Une attirance réciproque

Cet après midi la chaleur était à son comble. Les cours venaient de ce terminer et la journée avait été épuisante. Il était dure de croire que nous étions bientôt en hivers avec cet air lourd et chaud qui pesait sur nous. Malgrés cela, je n'avais pas changé mes plans, et je me dirigea vers le centre commercial. Je voulais profiter de ce temps libre pour acheter quelque fourniture manquante avant que l'on me punisse. Les filles m'attendaient au parc un peu plus tard quand il ferait plus frais. Alors je voulais me prendre une boisson fraîche et de quoi grignoter.

Arrivé au centre commercial, c'est un peu perdue que finalement je me balada à travers les rayons. En cours de route, je tomba sur le rayons frais. Vous savez lui avec des grand frigidaire. Je décida de m'y rafréchir quelque instant. Cela faisait tellement de bien. Que j'avais l'impression de respirer pour la première fois. Enfin rafraichis, je partie en quête de mes courses. Dans le rayons fourniture où je m'étais arrêté, je m'attelais à chercher le canson le moins cher.

-Je crois que le moins cher tu le tiens entre les mains, m'expliqua une voix moqueuse que je reconnue.
-Ah...Bonjour, saluais-je surprise de voir cet personne.
-Bonjour, me répondit-il. Tu as fini tes courses ?
-Euh... Je dois me prendre à boire, et j'ai fini, oui...
-D'accord, acquiesçe le grand ténébreux. Si je paie, ça te dirait de venir te rafraichir avec moi ?
-Ah...euh...

Là j'avais plusieurs raison d'accepter. La première, c'était gratuit, on est d'accord. La deuxième, c'était que si il voyait que j'étais intimidée, il croirait que j'ai peur de lui et que je le fuis. Et je deteste qu'on croit que je suis lâche, même si je le suis. La troisième, c'est que j'en avais simplement envie. La quatrième c'est qu'il a une voiture. Et la cinquième, celle que je n'avouerais jamais à voix haute, c'est que depuis ce baisers, je n'arrive pas à me l'arracher de la tête. Et il me turlupine. Et sa me rend dingue de ne pas comprendre ce qui ce passe.

-D'accord, acceptais-je en souriant.

Donc nous partions tout les deux en direction des caisses. Ensuite je le suivis jusqu'à sa voiture. Une Citroën, assez classe je l'avoue. Personellement si je dois avoir une voiture je veux la même. Les vitre semi tenté, empêche la cuisson du cuire présent sur le fauteuil, par le soleil. Sa clim, recraché le plus saint des airs frais. Et mes jambes pouvaient être étendue comme il le fallait. Elle était belle et bien la voiture de mes rêves. Même les ceintures, possédant un cache, ne t'étranglait pas en l'attachant.

-Ça va, rit-il. Elle à l'air de te plaire ma voiture...
-Ouais, soufflais-je. Tu devrais la vendre à ma mère, la sienne est instrument de torture...
-Ahahah, désolé, mais elle a bien trop de valeur, refuse-t-il en pouffant. Mais c'est vrai qu'aujourd'hui il fait particulièrement chaud...
-M'en parle pas cet chaleur m'étouffe, lui expliquais-je. Il est pas censée pleuvoir ?!
-Tu sais le temps on le contrôle pas, acquiesçe-t-il a mes dire.

Tututurururu!!!! (Sonnerie de téléphone)

-Allô ? Commençais-je en sachant que c'était Caia.
-Ouais, tu viens quand du coup ? Demande-t-elle avec le bruit de voix des filles en fond.
-Je suis avec Duke là, on va boire un verre, dis-je en le regardant. Pourquoi ?
-Oh oh ! Je vois ! Dit-elle en ne relevant pas ma dernière question. Envoie moi un message des que vous avez fini hihihihii...
-Ok je t'appelerais...

Du coin de l'oeil, j'aperçus Duke m'observait le sourire au lèvre. Je détourna le regard, et je me concentra sur la route.

-Tu as faim ? Demande-t-il en entrant dans le drive d'un Macdonald.
-Non, mais je veux bien une glace, acquiesçais-je.
-Tu excusera mais j'ai pas mangé à midi, alors te gêne pas si t'as fin...
-Non c'est bon, souriais-je. La glace me suffit au pire je te piquerais deux ou trois frite...
-Et en boisson, tu n'as pas soif...
-Je n'aurais pas le temps de prendre les deux sans que l'une se réchauffe... Je te piquerais aussi à boire..
-Bien, alors commandons alors...