Trois jours, trois jours qu'il est mort, ça fait trois jours que je réfléchis à sa demande,
Devrais-je accepter ? ou refusé et suivre le cours de ma vie banale ?
Je n'en sais rien, mais il a une chose qui est sur, le fait qu'il était fier de moi et qu'il m'aimait, lorsque j'avais lus cette partie de sa lettre mon cœur était devenu si léger.
Si tu savais papa, cela fait si longtemps que j'attendais que tu me le dise...
Au fond de moi, je savais qu'il m'aimait, au moins juste un peu, mais il ne savait pas le montrer, il le montrait en me rabaissant et en me critiquant, il faisait ça pour que je me surpasse, pour que je devienne une femme forte, et grâce à sa méthode d'éducation, je le suis devenue.
Je suis devenue cette femme.
À présent, je sais pourquoi il m'a appris tellement de choses en rapport avec le monde de la mafia , car il voulait que je face partie de ce monde.
Est-ce que j'accepte, ou est-ce que je refuse et toutes les heures d'entraînement, de souffrance que j'ai subis me sont à présent inutiles ?
Flash-back : trois jours auparavant :
- Bouge de là. Dis-je froidement à cette homme
- T' es qui toi ? Me demande-t-il perplexe.
- Tu veux que je te fasse une biographie sur ma vie connard ? Je t'ai dis bouger d'ici et de la laisser tranquille. Lui répondais-je calmement.
- Répète ce que tu viens de dire salope !? Hurle ce pauvre clochard.
Je l'attrape par le col et lui dis :
- Soit tu bouges et tu laisses cette fille tranquille ou soit, je fais en sorte que tu regrettes d'avoir mis tes sales pattes dans se bus ?
- Elle va faire quoi la gonzesse ? Demande t'il en me montrent ses dents sale.
Je hais les hommes dans son genre.
Bien.
Ni une ni deux, je jette ma jambe droite en plein dans ses parties génitales, le laissant se torde de douleur.
Je lève les yeux et aperçois à travers les grosses vitres du bus que mon arrêt est juste ici, je pousse ce bouffon qui s'effondre au sol tenant toujours ses parties de ses mains sales.
- Un conseil, ne sous-estime jamais une femme. Lui dis-je à voix basse pour qu'il soit le seul à entendre.
J'appuie sur le bouton, le bus s'arrête et la jeune fille que j'ai défendu se lève aussitôt. Je sors du bus et je sens que la fille me suit en courant.
- Excusez-moi ! Dit une voix aiguë.
Je me tourne et aperçois la jolie jeune fille essoufflée, elle remet une mèche blonde derrière ses oreilles et me dit :
- Merci... de m'avoir défendu, jamais je n'aurais pu le faire moi-même.
- C'est normal, il faut s'entre aider entre femmes, et il ne faut pas que tu te laisses faire par les hommes.
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Dernière volonté
БоевикSon père, de son vivant travaillait dans un puissant cartel dirigé par la famille la plus redoutée du pays. Les Alvares Mais lorsqu'il qui mourut il laissa derrière lui une dernière lettre destinée nul autre qu'a sa fille unique, à l'intérieur de c...