Chapitre 10

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Je l'es tué...

Et si cette homme avait une famille ?
Et si cette famille l'attendait pour le dîner ?

Je laisse tomber l'arme au sol, troubles, le bruit du coup de feux continue de résonner dans ma tête.

Il a réussi à me manipuler, d'une simplicité incroyable, je le regarde, et il ose sourire.

Me mettent insi dans une rage folle, je veux le tuer, je regarde l'arme que j'ai fait tomber il y a quelques secondes, je le regarde lui, il le remarque, et se penche pour reprendre l'arme.

- tu a peur ? Lui demandai-je doucement.

- moi, avoir peur de toi ? Demande-t'il d'un air moqueur.

- pourquoi tu l'a ramassé alors ?

- tu regrette d'avoir tuer un homme que tu ne connais pas, et tu pense que j'ai peur de toi ? Dis t'il.

Je m'approche doucement de lui, et lui dis doucement :

- alors repose la par terre.

Il plisse des yeux, faisant mine de ne pas comprendre, ce qui me fait bouillir de rage a l'intérieur.

Lorsque son torse musclé touche ma poitrine, je décide d'arrêter de m'avancer.

Je le regarde dans les yeux, mais cette fois je suis beaucoup trop énervé pour me perdre dans son regard ténébreux.

Je baisse les yeux vers son cou ou je peux clairement voir sa pomme d'Adan remonte et redescende, j'ai juste une envie qui me vient :

Poser mes main dessus pour l'étranger jusqu'à qu'il perde connaissance.


Mais une autre idée me vient, je regarde l'arme qu'il m'a confisqué il y a quelques instant,et me rend compte de quelques chose de fâcheux, je ne pourrais pas l'attraper.

Soudain, une conversation avec lui me revient en tête.

« - mon doigt a une soudaine envie d'appuyer sur la gâchette du fling qui se trouve dans la poche gauche de mon pantalon. Me disais t'il

- t'aurais pas du me dire où se trouve cette arme, Alvares.

- et pourquoi donc, Adams ?

- par-ce-que, tu le regretteras un jour. »

Et ce jour, est arrivé.

J'effleure sa poche gauche de mon doigt. Super, elle est la.

Sans qu'il n'est le temps de cligner des yeux son arme se trouve dans mes main, et le bout de mon arme est pointée face à son front.

Il écarquille les yeux, sans comprendre la situation, sa respiration s'accélère et il plante durement son regard dans le mien.

- Adams...

- mon doigt est sur la gâchette prêt à appuyer Alvares, fait un mouvement, et je te jure que j'appuie dessus.

Dernière volonté Où les histoires vivent. Découvrez maintenant