Dieu seul sait comment je suis arrivé là, sur un banc a 4h du matin entrain de m'acharner contre mon sort alors que tous dorment paisiblement. Je dois offrir un spectacle bien pitoyable : une fille seule, fringué assez étrangement et en larmes (pathétique). Suite aux événements de cette journée déroutante , je n'est pas arrêter de songer a la dernière chose que j'avais uppercut, a ce visage angélique qui a soudainement fit surface devant moi avant que je ne sombre dans l'inconscience.
Étant quelqu'un de normal j'aurai été pétrifié par ce froid à la seconde même mais comme me disait maintes fois mon père « la douleur est dans la tête » alors je n'y prêtais pas vraiment attention.
Je fus retiré de mes pensés par a raclement de gorge, je sursautai sur place 'qui pourrait bien sortir en ce froid de gueux a cette heure ci a part moi bien sûr ?'j'eus alors un masculin d'une vingtaine d'années comme visionnage,il faisait nuit, il faisait noir, je n'ai donc pas pu décréter qui il était... Il resta pointé la devant moi, je pouvais voir qu'il hésitait alors la seule chose que j 'ai pu faire était de me caler un tout petit peu quitte a lui laisser de la place pour qu'il puisse s'y installer. Je retournais alors dans mes songes douloureux l'oubliant un peu prêt avant qu'il ne me prit en dépourvoir en me demandant ce qui n'allait pas. Je refuse catégoriquement de m'ouvrir à qui que se soit c'était la règle numéro un des besogneux comme moi mais les mots sont une cascade d'émotions et rien ne les arrêtes c'est alors que les paroles qui écrasaient depuis bien longtemps mon cœur sortent le longs de mes lèvres et les larmes les plus néfastes coulent le longs de mes joues.
je suis parfaitement consciente du fait que diffamer sa vie à un parfait inconnu n'était en aucun cas la solution a mon problème, mais quelque chose en moi me disait que je pouvais lui faire confiance, alors après les quelques minutes que j'avais assées a lui raconter mes peines il dénia enfin à prendre la parole, et la c'était le choc total, le paroxysme a son comble.
l'inconnu : On peut souffrir d'un manque, d'un amour non réciproque, d'un rejet, d'un deuil pas prêt d'être achevé, on peut souffrir psychiquement comme physiquement mais je te prie de rester adjacente à ce dicton « c'est une loi : souffrir pour comprendre >> certes tu es habitée par une souffrance aiguë, confuse, profonde qui tu penses , ne te quittera jamais mais il faut avoir une ambition de gloire future et non quotidienne cependant tu peux sortir, voir le monde autrement, tu auras des bonheurs mais jamais des bonheurs complets mais il faut vivre avec, l'alternative pourrait être bien pire.
Je suis resté abasourdie par l'entente de sa voix, ça ne pouvait pas être vrai, sa voix est adéquate à celle qui me hante... Oh mon Dieu faites que ce ne soit qu'un mauvais rêve ... faites que ce ne soit qu'un mauvais rêve...qu'un mauvais rêve .... qu'un mauvais rêve ..
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Liés par l'Âme Perdue.
RomanceA par mon nom je ne suis malheureusement personne, peut-être que je suis quelqu'un mais ce quelqu'un que je suis est quelqu'un d'autre aussi, ça paraît louche mais c'est vrai, je suis à la fois Émilie Guen, à la fois cette voix faussement rauque et...