Un jour c’est blanc, un autre c’est noir. La certitude s’éloigne de mes habitudes. Il ne reste plus que mon regard si vide. Je change d’attitude, comme un garçon fébrile. Ils disent que je deviens trop sensible. A me voir, ils se doutent que ce soit possible. Je me suis mis dans ces choses qu’on ne force pas. Cela m’a conduit dans tes draps et aujourd’hui j’en subie les dégâts. J’ai trop forcé ce que je ne devrais pas tenter. Je me suis fait mal jusqu’à me blesser. Mais je n’arrive toujours pas à constater le fait que je m’éloigne de ma personnalité. D’habitude j’ai toujours su où aller. Mais pourquoi avec toi, je n’arrive pas à remarcher ? Et pourtant je t’ai remis ce que l’autre voulait, mais ne pouvait espérer. Mais tu t’entêtes pour des fausses promesses, pendant que moi je t’aime. Depuis, je ne fais que te pousser, mais ce n’était pas ce que je voulais pour être à tes côtés. Je me disais qu’un jour, tout prendrait forme mais, entre nous rien ne s’arrange. Dit moi si à tes yeux, tout te semble compliqué, pour ne plus que je me fasse des idées ! Mon cerveau et mon cœur sont dans une guerre sans fin, je suis deux personnes différentes dans cette situation. Ce n’est plus la peine de te dire ce que je pense, car ton chemin n’est plus mon sens et je n’aimerai pas vivre avec ses remords.