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   On entra sur le terrain, personne ne voulait l'attaquer par non connaissance de son alter.
Mais izuku se lança alors que nous nous mîmes à l'encercler,  mirio disparu sous le sol. Intéressant ça il peut passer à travers les murs. Je suppose que ça marche aussi avec les attaques.
Il réapparu alors et assomma une partie des élèves, Waw, en plus de très bien maîtriser son alter, il se bat très bien.
Mais si ce que mr Aizawa dit est vrai et que je peux améliorer un alter en le copiant, je devrais pouvoir être apte à rivaliser.
Mirio re disparu sous le sol.
-"restez sur vos garde, il peut apparaître n'importe ou" prévenu izuku.
Mirio réapparu derrière midoriya mais ce dernier avait étonnement prévue son coup et lui mit un coup de pied dans la tête.  Impressionnant, il en faut de la jugeote pour prévoir ça, mais maintenant qu'on a comprit comment il fonctionne ça change la donne.
Il fit la même attaque en s'en prenant à a momo, elle avait fabriquer un bouclier mais ça ne l'avait pas protéger plus que ça face à la force de Mirio.
Il était vraiment à l'affût, à peine après lavoir attaquer il repassa derrière elle pour la mettre à terre. Il repassa sous le sol ensuite, puis apparu derrière moi, il m'attaqua mais j'activa son alter alors il tomba à terre, je profita de la surprise pour lui mettre un coup de poing.
-"Phoebe! Dehors"
-"hein mais pourquoi?"
-"TAs tricher, tu lui as pris son alter avant que ça commence"
-"et alors, aucune règle était contraire"
-"tu sors" c'est vraiment injuste, je ne vois pas en quoi j'ai fais quelque chose de mal.
-"c'est vous le chef" on pouvait entendre la confusion et la haine dans ma voix. Je pris mon sac et sorta du gymnase. Je sais bien que j'étais juste censé sortir du terrain mais, ça m'a tellement saoulé que je partis.

Je me retrouva à me balader dans les rues de la ville avec mon café à la main, le temps de me calmer. Les gens avaient l'air heureux, des couples, des amis qui rigolent.
Je continuais de marcher dans les grandes rues de la ville, puis passa devant une ruelle.
-"DEPECHE TOI DE ME RENDRE MON FRIC" ont ne peut pas avoir une seconde de répit ici.
-"je te jure que si je l'avais je te l'aurais déjà donner, je t'en supplie, laisse ma famille en dehors de ça"
-" donne moi y'a main  je vais te laisser un avertissement" il sorta un couteau de sa poche. Merde le pauvre, j'aimerais pas être à sa place.
-"si dans une semaine t'as pas mon fric, je tue ta fille" je devrais peut être intervenir avant que ça ne dégénère..
il s'apprêta à lui couper le majeure, je lui jeta alors un poignard qui transperça son poignet dans lequel il tenait son couteau.
-"TES QUI TOI, JVAIS TE CREVER"
-"tas pas honte de t'en prendre à sa famille, tout ça pour de l'argent, tu fais pitier"
-"je sais pas t'es qui, mais t'aurais jamais dû faire ça"
-"PARTEZ TANT QUIL EST ENCORE TEMPS" me dit l'homme qui allait perdre son doigt.
-"met toi à l'abris je m'en occupe"
Je posa mon café à terre, je me releva et vu ses doigts s'illuminés, des lasers s'apprêtaient à en sortir, je suppose que ça doit faire mal, merci mirio pour ton aide. J'avance sereinement vers lui alors qu'il tira, ses lasers me traversaient.
-"TES QUOI TOI"
-"une simple lycéenne;)" dis-je en n'approchant de lui de plus en plus.
Il re tenta de me tirer dessus et encore une fois ça me passa au travers. J'entendu un bruit de verre cassé, Je me retourna pour voir où ça venait, et il avait cassé une vitre dans le bâtiment d'en face, merde j'ai pas limité les dégâts.. je regardais plus attentivement et vu MON CAFÉ!
-"alors toi, je comptais rester gentil mais là, t'as toucher à mon café" je me jeta sur lui et le roua de coup. Il ne pouvait rien faire ça en était plus pitoyable que ça l'était déjà.
-"attends arrête s'il te plaît" me dit l'homme que je venais de sauver.
-"t'aurais préféré que je te laisse te débrouiller?"
-"si vous continuez, il tuera  ma fille, je vous en prie" ah oui c'est vrai j'avais oublier ce léger détail.
Je le releva, le prit par le col et le plaqua au mur
-"dis moi où tu la retiens sinon je t'offrirais la pire des morts" Il comme ça à rigoler.
-"tu veux t'attaquer à eux tous toute seule" dit il en s'esclaffant, je sortis une lame et la mit sur son cou en appuyant légèrement.
-" parles" il me donna alors l'adresse de sa base tout en continuant de rigoler. Je fouilla ensuite dans sa poche et lui pris un billet.
-"ça c'est pour mon café, et une petite compensation pour m'avoir fait perdre mon temps"  je le laissa pendant qu'il se rasseyait par terre.
-"ça va toi?" Demandai-je a l'homme qui était en pleure.
-"ma.. ma fille.. ma femme"
-"comment s'appellent t-elles?"
-"ma fille s'appelle ayano et ma femme choouko"
-"tres bien, je tacherais de vous les ramener"
Je ne vu rien mais entendu l'homme derrière moi crier de douleur. Lorsque je me retourna je le vu plaquer au mur, avec deux grandes plumes qui étaient passés au travers de sa chair pour le maintenir. Je regarda dans tout les sens et le vu, un homme, blond avec d'immense et magnifiques ailes rouges.
-"tu manques légèrement d'entraînement, mais pour ton âge, tu t'en sors extrêmement bien, je dirais même que tu as plus de niveau que certains pro"
-"Toi! J'avais un compte à réglé avec toi, mais je t'ai jamais revu"
-"la rancœur c'est pas pour les héros, Phoebe"
-"qui te dit Que je suis un hero?"
Il se mit alors à sourire en coin
Je reprit la parole suite à ce blanc.
-" daccord mr l'éternel numéro 2, bon il faut que j'y aille*je me tourna vers l'homme* ne vous en faite pas monsieur, je vous ramènerais votre fille saine et sauve"Hawks rigola face à ma légère pique puis je commença ensuite à partir vers l'adresse indiquée. Mais il fallut que quelqu'un m'arrête dans ma lancée.
-"eh, je peux te raccompagner?"
-"jai pas besoin d'un suivi, merci quand même" il s'approcha tout de meme de moi.
-"désolé de te décevoir chérie mais je ne peux pas te laisser faire ça"
-"je te déconseille de jouer à ça avec moi le pigeon"
-"oh non, moi je me vois plus comme un magnifique aigle vois tu, en tout cas, je vais pas laisser une jeune femme s'attaquer a tout un gang sans renfort"
-"laisse moi passer avant que je m'énerve pour de vrai" il eut un rictus.
-"pas commode dites donc, je veux juste t'aider"
-"y a d'autre façon de le faire" dis-je en lui passant au travers.
-"s'il te plaît, n'y va pas seule" je m'arrêta alors, il sait bien comment revenir sur ses mots. Je me retourna pour lui faire face.
-"reste pas dans mes pattes et tu peux m'accompagner"
-"c'est toi la chef" dit il en levant les bras en signe d'abdication, alors que nous nous dirigions vers l'adresse.

Mha 001Où les histoires vivent. Découvrez maintenant