Il y a longtemps que j'ai cessé de compter les coups qui fusaient à travers cette pièce,
L'atmosphère était écrasante,
La peur régnait à travers ta présence.
On s'était promis pour le meilleur et pour le pire,
Mais, qui aurait su que le pire était que je frôle la mort tous les soirs.
Or ce soir-là, tes excuses n'auront plus aucun effet.
Ce soir-là, mon coeur cessera de battre.
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Le silence des mots
PoesíaChaque textes que vous lirez est un fragment de ma vie, une partie de moi. Mes douleurs les plus profondes, des paroles que j'ai évacuées en silence car je n'avais pas le courage de les hurler au monde. Les mots ont été ma délivrance quand il m'a ét...