Un délire original de : moi (l'auteure) et mon cher frère lemecdangereux
_________________________________________1872.
Inès, une jeune anglaise arriva tout droit de Londres à Paris, après une longue traversée en bateau dont le calme fut perturbé par de longues heures à devoir écouter le son d'une cornemuse (c'est-à-dire la torture auditive pour Inès).
Elle avait échangé quelques lettres avec le jeune poète Arthur Rimbaud, et devait le rejoindre ce jour-là.
Dans la rue, elle vit un vieil homme élégamment vêtu, fumant une pipe. Elle vit aussi un homme habillé en bleu, blanc et rouge. Et elle vit de temps à autre, des canons dans les rues.
Arrivée devant la maison que le jeune poète lui avait indiquée par écrit, Inès frappa à la porte.
Ce fut visiblement Arthur Rimbaud en personne qui vint lui ouvrir.
His face seems oddly familiar..., pensa Inès.
Rimbaud : Inès, c'est cela ?
Inès : En effet. Arthur Rimbaud ?
Rimbaud : Lui-même.Inès entra et Rimbaud referma la porte derrière elle.
Soudain, un coup de canon retentit, faisant sursauter la jeune fille tellement haut que sa tête heurta le plafond, faisant tomber et casser la lampe.
Verlaine (depuis l'étage) : Ma lampe ! C'était celle de mon grand-père !
Paul Verlaine en personne descendit l'escalier. Mais, manque de chance, il glissa sur un bout de verre sur la première marche en partant du haut de l'escalier...et il dégringola les escaliers pour atterrir étalé par terre, aux pieds d'Inès.
La jeune anglaise le regarda, les yeux ronds.
Inès : Qui êtes-vous ?
Verlaine : Je suis Paul Verlaine. À qui ai-je l'honneur ?
Inès : Je m'appelle Inès.
Verlaine : Enchanté !Il se releva et se dirigea vers la cuisine.
Verlaine : Voulez-vous une tasse de thé ?
Inès : Oh, oui, avec plaisir ! I love tea !Alors il lui prépara une tasse de thé, et quand il eut fini, il la tendit à Inès. Celle-ci commença à boire ce déLiCiEuX breuvage...et le recracha immédiatement.
Verlaine : Que se passe-t-il ?!
Inès : The tea ! It's disgusting ?
Verlaine : ...Excusez-moi mais je ne comprends pas l'anglais...
Inès : C'est dégoûtant !
Verlaine : Oh ! Oui, c'est parce que j'ai mis des feuilles de tisane au lieu de feuilles de thé...désolé.Il lui prit la tasse et la reposa.
What the hell-, pensa Inès.
Verlaine : Bien, il est temps d'aller se coucher et...
Soudain, des coups de canon retentirent.
Rimbaud : Ah, oui ; si vous entendez des cris et des coups de canon, c'est nos voisins qui se querellent. Rien de grave, ils font ça tout le temps.
Inès : ...D'accord...Plus tard...
Les coups de canons ne cessèrent pas. Inès n'arrivait pas à dormir. De plus, elle entendait Rimbaud et Verlaine se dire plein de trucs de couple bien niais dans la pièce d'à côté.
Au bout d'un moment, le bruit d'un vase qui se brise se fit entendre. Inès bondit sur ses pieds et sortit de sa chambre pour aller toquer à la chambre de Rimbaud et Verlaine.
Ce fut Verlaine qui lui ouvrit, la bouche rouge.
Inès : Qu'est-ce qui se passe ?! Et votre bouche ! C'est du sang ?!
Verlaine : Oh, ce n'est rien. Juste le vase de ma grand-mère qui est tombé et qui s'est cassé. Et ce n'est pas du sang, c'est juste le rouge à lèvres de Rimbaud.
Inès : Du rouge à lèvres...Le même que celui de Mercutio ?
Rimbaud : Oui, je lui ai pris.
Inès : Attends...Mais alors...Et tout fut clair tout à coup !
Inès : Tu ne serais pas Leonardo DiCaprio, par hasard ?
Rimbaud : Comment tu m'as reconnu ?!
Inès : J'ai vu Roméo et Juliette...Et puis tu es mondialement connu.
Verlaine : Leonardo DiCaprio ?! Mais alors...C'est donc toi celui qui fait toujours du oh james dans les films ??
Leonardo : ...Exact...Tout à coup, Verlaine hurla et tomba à genoux.
Verlaine : AH ! L'HOMME DE MA VIE M'A MENTI ! IL M'A TROMPÉ !
Il ouvrit sa poitrine à l'endroit où il y avait son cœur, comme si c'était une fermeture éclair, et le sang jaillit. Son cœur saignait, littéralement. Il continua à crier de désespoir jusqu'à ce qu'il arrache son cœur et le brandit.
Verlaine : MON CŒUR SAIGNE !
Et sur ce, après quelques plaintes, il tomba au sol, inconscient. Inès et Rimb- je veux dire Leonardo, stupéfaits, échangèrent un regard.
Inès : Bon...Tu devrais retourner voir Juliette.
Leonardo : Elle est morte.
Inès : Ah, oui, c'est vrai...Sinon, le Titanic va appareiller dans quarante ans, tu rencontreras Rose...
Leonardo : C'est ce que je vais faire. Si on s'en allait ?
Inès : Excellente idée.Mais alors qu'ils se dirigeaient vers la porte, Verlaine se leva et se précipita devant. Brandissant son cœur, il s'écria avec force :
Verlaine : VOUS NE PASSEREZ PAS !
Leonardo et Inès sursautèrent en hurlant de frayeur tandis que Verlaine commença à presser son cœur pour leur projeter du sang dessus.
Leonardo se mit à courir dans l'habitation pour éviter les projections de sang tandis qu'Inès avait décidé que le sol ferait office de trampoline (traduction : elle sautait pour éviter les projections de sang).
Malheureusement, manque de chance, elle sauta trop haut et se cogna la tête contre le plafond, faisant tomber une autre lampe.
Leonardo et elle étaient à présent étalés par terre, rampant pour éviter les projections de sang.
Inès : LEONARDO ! SAUVE-TOI ! VA RETROUVER ROSE, VA EN THAÏLANDE, VA DÉCOUVRIR UNE COMÈTE ! JE TE COUVRE !
Leonardo : D'ACCORD !Inès se leva et se plaça dans un coin de la pièce, non loin de Verlaine.
Inès : Hé ! Par ici !
L'attention du poète fut tournée vers elle, et il recommença à lui projeter du sang dessus, tandis qu'Inès tenta de se couvrir le visage avec ses mains.
Pendant ce temps, Leonardo eut le temps d'atteindre la porte...
Leonardo : Au revoir !
Verlaine : NOOOOOOON !!!!Il tenta désespérément de le rattraper avec du sang, mais il était trop tard...Leonardo DiCaprio avait déjà franchi la porte.
Enragé, Verlaine se retourna vers Inès et lui projeta tellement de sang qu'elle tomba au sol et mourut, intoxiquée par le sang.
𝐓𝐇𝐄 𝐄𝐍𝐃
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(Stranger) Things
No FicciónÀ TOUS CEUX QUE ÇA INTÉRESSE : C'est un livre dans lequel je mettrai mes rêves les plus bizarres...mais quand je dis bizarres, c'est VRAIMENT bizarres ! Faites gaffe si vous lisez. Ah, et des tags aussi...et d'autres trucs. En tous cas...n'hésitez p...