Section 05

Chapitre 1

Yejun

Nous étions tous assit autour de la table de conférences. Chacun était à sa place respective. Le soir précédent a l'heure du dinner Mère Odette nous avait dit que le lendemain matin à 7 heure précise il fallait qu'on se rassemble en salle polyvalente. Elle ne nous en avait pas dit plus sur le pourquoi du comment. Je regardais Yumna qui était assis en face de moi. Elle discutait avec Joyce qui n'avait pas l'air d'être bien réveillée. A côté d'elle se trouvait Eugène qui dormait complètement sur la table.

J'allais demander quelques choses à Nehmia quand l'écran géant s'illumina. Mère Odette fit son entrée dans la pièce accompagné de Père Walter et d'Agatha notre nourrice.

Comme les règles l'exigeaient nous nous sommes levés en signe de respect pour nos parents de substitution. Père pris la parole.

- Vous pouvez vous asseoir mes enfants.

Nous nous sommes donc assit comme il ne nous l'avait demander puis il commença son speech.

- Les enfants vous êtes maintenant âgé de 17 ans. Ce qui signifie que vous êtes des adultes en devenir. Il y a quelques semaines Mère Odette et moi même nous sommes entretenus avec tout les membres fondateurs du CSEC. Suite à de nombreuses réflexion certains membres ont jugés nécessaire de réouvrir une émission d'information à votre sujet. Cela fait maintenant 14 ans que le monde entier n'entend plus parler de vous. 14 ans que vos identités se sont évaporées dans l'esprit des Hommes.

Mère Odette pris la parole à son tour:"

- Notre organisation à longtemps posé un problème au personne du monde entier qui jugeait déplacé d'élever des enfants dans ces circonstances. Seulement ce que les gens avaient du mal a comprendre c'était que vous n'étiez pas de simples enfants mais des survivants. Il était alors impossible de vous élever comme des enfants quelconque car vos corps demandaient beaucoup plus d'attention et de précaution que d'autres nourrisson. Nous avons longtemps lutter contre l'opinion publique qui ne comprenaient pas que vous étiez des élites en devenir.

Père Walter repris la suite. Décidément aujourd'hui ils étaient d'humeur à jouer au tennis de table. Il se tourna vers l'écran géant.

- Aujourd'hui nous pouvons affirmer que la décision prise par notre organisation et certains politiciens était la bonne. Vous êtes des enfants hors du commun avec des capacités spéciales et pour certains inhumaine. Je prend ton cas comme exemple Eugène. Tu n'as seulement 17 ans et tes capacités physiques sont très développé. Et pour vous tous vos capacités intellectuelles dépasse l'entendement. La réouverture de ce documentaire permettra donc au monde entier de se rendre compte de l'importance de notre décision et qu'il y a 17 ans c'était la naissance d'une pincée de génie. Regardez."

Sur l'écran géant était projeter une vidéo, un extrait du débat qu'il y avait eu quelques jour plutôt a propos de cette émission ou documentaire. Les membres du conseil et de la presse semblait convaincu que leur idée était révolutionnaire tandis que les scientifiques essayaient de traité l'information avec minutie.

Tout le monde était scotché à l'écran. Je pense que comme moi mes amis essayait de prendre conscience de la situation et de la portée que cette décision aurait sur notre vie. Quand la vidéo fut terminée un grand silence ce fit dans la salle. Mère pris la parole :

- C'était ce dont nous voulions vous parler ce matin. Nous vous apporterons des précisions sur ce projet au cours de la semaine. Les enfants aussi si vous avez des questions n'hésitez pas à les notés pour me les poser. Sur ce, il temps pour vous de reprendre vos activités quotidiennes."

Extrêmement brutale. C'était les mots qui définissait la scène qui venait de se dérouler devant nos yeux. Père et Mère quittèrent la salle dans une ambiance glaciale. Je n'avais pas l'impression que cette nouvelle les réjouissaient beaucoup mais d'un autre côté ça n'avait pas l'impression de les déranger. Mère Odette nous avait dit qu'au cours de la semaine elles allaient nous apporter des précisions alors je n'avais pas besoin de m'inquiéter à ce sujet.