Chapitre 4 - Le dressage

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- Je vais regarder un film. Toi, pendant ce temps, tu t'allongeras dos au sol.

Elle alla dans le salon et choisis son film. La pièce était plongée dans le sombre. Seule la lumière de la télé était présente. Je m'allongeai comme elle me l'avait demandé et elle posa ses pieds froids sur mon torse. Elle retroussa ses orteils et arriva à attraper la peau de mes abdos tout en la tirant vers elle. Je gémissai et elle posa un pied sur ma bouche.

- Je t'interdis de gémir. Tu couines, comme font les chiens dans ton genre.

Elle recommença mais cette fois avec ses ongles. Elle les enfonçait dans ma chair et les ramenais vers elle. Elle traçait des cercles jusqu'à ce que ça devienne rouge. Je couinais comme pas possible. Elle passa ensuite ses ongles du gros orteil sur le bout de mes tétons et appuya très fortement dessus. J'avais des larmes et me remuais dans tous les sens. Elle les planta à plusieurs reprises.

- Je t'ai dit de la fermer !!

Je me mordai la lèvre inférieure pour éviter de faire du bruit et souffrir en silence. Elle tritura mon téton tout en le griffant. Ils étaient rouges comme pas possible. Alors elle se leva, prit du sel et un glaçon. Elle m'en mit sur les parties rouges et posa 2 cubes froids. La douleur était horrible. J'hurlais dans ma manche.

- Aboie.

Je me mis à aboyer tout en couinant et je restais à ses pieds à me tortiller jusqu'à ce que les glaçons fondent. C'était une des pires torture qu'elle venait de me faire. Enfin, pour le moment.

- On va dormir. Suis-moi

Je la suivai à quatre pattes jusqu'à la chambre. Elle sortit un pyjama pour enfant de son placard et elle me le balança. Puis elle me jeta une couche pour bébé.

- Mets-les. Tu dormiras à mes pieds ce soir.

Je ne comprenais pas vraiment pourquoi elle voulait que je porte ça mais je me dis que ça devait être un de ces fantasmes. Alors je mis cette couche bien trop serrée pour moi. Mon pénis était compressé dans ce tissu tout chaud. Elle allait transpirer à coup sûr là-dedans. Puis je mis par dessus, un pyjama trop petit pour moi. On voyait mes chevilles dépasser du bas et j'étais tout serré dans cet habit enfantin.

- Ouvre la bouche bébé.

Je l'ouvris et elle y introduit une tétine.

- Suce la pour maman toute la nuit, d'accord ?

Je fis "oui" et elle me mit une légère tapette. Je me dirigeai sous la couette, au fond du lit et elle s'y allongea. Elle plaça un pied sur mon visage et un autre sur ma couche au niveau de mon entrejambe. Elle faisait des pressions dessus et je bandais comme un cheval. J'avais tellement chaud dans cette matière de bébé et sous la couette. Le pied de ma maîtresse était tout collant à force. Je sentais cette moiteur sur mon nez. Puis je tombais dans les bras de Morphée…

Ce qui me réveilla en premier fut la lumière du jour. Il devait être dans les environs de 8 heures. Je n'osais pas bouger mais il faisait une chaleur là-dedans ! De plus, les pieds collants de Léna puaient fortement. Elle avait l'air de transpirer facilement. Ne pouvant plus attendre, je décidais de sortir mais au moment où je posais un pied à terre, elle dirigea sa jambe vers le derrière de mon genou et elle mit un coup dedans. Je tombais à genoux et je la vis dans le miroir. Elle avait un léger sourire aux lèvres. Elle enlaça sa cuisse autour de mon cou et elle serra son emprise. Je commençais à suffoquer et la suppliait de me relâcher. Ma tête devenait rouge et je me voyais dans la glace. J'enfonçais mes ongles dans sa chair et au moment où elle lâcha la pression, elle me plaqua ses chaussettes qui traînaient par terre au nez. J'étais obligé de respirer cette odeur nauséabonde afin de reprendre ma respiration.

- Règle d'or : ne jamais réveiller sa maîtresse.

Elle éloigna les chaussettes de mon visage et m'ordonna de préparer le petit-déjeuner. Je partis donc le faire, du moins, les robots faisaient tout à ma place, je n'avais pas grand chose à faire au final. C'était mes "soumis" si on peu appeler ça comme ça. Une fois prêt, je l'appellai à venir. Comme d'habitude, je mangeais à ses, dans un bol, qui allait bientôt se transformer en une gamelle.

- Dis-moi, quel est ton plat préféré ?

“Mon plat préféré ? Voyons… si je repense à l'époque où j'étais libre, je dirais…”

- La tartiflette ! Répondis-je avec joie.

J'espérais que l'on mange ça ce soir mais ce fut tout le contraire de ce que je pensais :

- Bien ! Tu vas en préparer une !

Je me mis à la tâche. Il manquait du reblochon alors j'ouvris une sorte d'imprimante et cliquais sur "Fromages" et je choisis "Reblochon". Des lasers jaillirent à l'intérieur de la machine et cela ne dura que quelques minutes pour que ça forme ce que j'avais sélectionné. J'étais subjugué par cette nouvelle technologie. Je rassemblais donc les ingrédients et la mit à cuire. Quelques minutes plus tard, c'était enfin prêt.

Je l'appelais à venir et elle s'installa. Je me mis à ma place, c'est-à-dire à ses pieds

À SUIVRE...

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 10, 2022 ⏰

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