Sasukexreader

Suite de l'entraînement

Il faut que je réfléchisse sur la manière d'attaquer Naruto. Il est très dur à berner en même temps on parle d'un Hokage et du plus(+) puissant de tous. Il faut que je fasse passer mon clône pour moi-même. J'envoie donc un clône derrière Naruto et camoufle mon chakra pour pas qu'il ressente ma présence.

Clône : Suiton - Bakusui Shôha

J'arrive par devant en envoyant une technique futon.

Moi : Fûton - Tôppa

Avec le mélange de ces 2 techniques les arbres autour du terrain d'entraînement sont tous déracinés... oups ^^

Je dégaine mon katana et avec une vitesse hors du commun je m'avance vers l'endroit où se trouve le déluge que j'ai causé et je coupe la vague de ma technique en deux parties. Je peux voir Naruto qui a quand même subit un choque mais il tient toujours debout. Je n'ai pas le choix il faut que j'utilise du taijutsu.

(Imaginez que Kakashi c'est Ayame et Kakuzu Naruto. Ah et aussi que le kunaï c'est un katana)

(Neji=Naruto l'autre=Ayame)

Naruto m'envoie au tapis, je n'ai plus le choix je vais devoir sortir mon arme secrète que seul mon clan possède : les Tsujigan

Mon clan a été décimé pour ces pupilles, elles étaient beaucoup trop puissantes donc très craintes, mon père a donc tué tout le monde sauf moi et j'ai du le tuer mais avant de mourir il m'a dit

Flashback de 6 ans:

Cela fait 3 heures que je m'entraîne sans relâche il faut que je dépasse mon père, c'est le plus fort du clan et il dit que je le dépasserai car je suis une surdouée mais je n'y crois pas trop. Mon père je l'admire beaucoup, il est crain dans tous les pays du monde shinobi, il se fait appeler : Le démon de konoha. He ouais c'est classe hein ! Mais bon passons. Je range donc mes affaires dont mes kunaïs et mes shurikens et je rentre dans le quartier des Hikari. Je vois aucune lumière c'est trop bizarre et c'est très animé d'habitude... Je sens une forte odeur de métal, l'odeur est insupportable cela me donne envie de vomir. Je vois du sang sur tous les murs des maisons. Ayant peur de ce qui peut arrivé à otosan(=papa) ooasan(=maman) et ani(=grand-frère) je me précipita vers ma maison en restant tout de même méfiante. En ouvrant la porte de l'entrée je vis avec effroi ma famille par terre dans une énorme marre de sang. Un vision d'horreur pour moi, une enfant de seulement 10 ans. C'est ce jour-là que j'ai perdu toute sorte de sentiments ou même d'innocence comme devrait avoir un enfant. Je me suis approché sans quitter des yeux les cadavres de ma famille. Je vis que mon père n'était pas ici ce qui est vraiment louche. Je sentis une présence derrière donc je sautaen faisant un salto arrière pour me retrouver derrière cette personne. Je vis donc mon père.

Otosan : Voilà comment se termine la fin du clan Hakari. Je vais devoir te tuer aussi. Dit-il en s'approchant de moi.

Je sortis un kunaï de ma poche et me mis en garde

Moi : Tu ne me tueras pas! dis-je avec force et sans peur dans la voix alors que j'étais tétanisée.

Mon père rigola d'un rire froid que je n'avais jamais vu jusque là.

Otosan : Tu as pris de mon caractère et j'en suis très fier, mais tu n'es qu'une gamine qui est faible et qui ne sert à rien ! Ta mère et ton frère sont morts à cause de toi!

Moi : Non tu mens arrête !! dis-je en laissant mes larmes coulées et en criant.

Otosan : TU ES FAIBLE ET INUTILE !!! TU FAIS HONTE A TON CLAN !

Moi : Arrête je t'en supplie. Dis-je en bouchant mes oreilles

Otosan : Tu vas souffrir.

Mon père se jeta sur moi, j'essaya donc de le repousser mais il était beaucoup trop fort pour une gamine de 10 ans. Il me planta le couteau qu'il avait donc les mains dans mon épaule gauche ce qui me fit crier a m'en arracher les cordes vocales. Il l'enleva et me le planta cette fois-ci dans la cuisse droite j'avais la sensation de mourir autant physiquement car mon père me mutilais mais aussi psychologiquement car j'avais perdu tout ce que j'avais de plus précieux dans ce monde haineux et laid. Mon corps à ce moment-là a réagit tout seul, je pris mon kunaï qui avait glissé de mes mains et le planta dans la poitrine de mon père. Il écarquilla les yeux et tomba sur le côté. Il était essoufflé et du sang coulé de sa bouche. Je savais qu'à ce moment là j'avais tué mon propre père. Je pleurais, je pleurais tellement que j'avais mal à la tête mais surtout aux yeux.

Otosan : Approche Ayame.
Moi: Papa je suis désolée. dis-je en pleurant et en souffrant de mes blessures
Otosan : Ne t'inquiète pas c'est ce que je voulais. Je voulais voir la vraie puissance de l'héritière du clan Hikari. Dit-il avec un petit sourire
Otosan: Je vais te dire un truc Ayame, tu es née pour être la meilleure shinobi, tu dépasseras tout les plus grands ninjas que ce monde est connu alors passe au dessus de toutes les choses abominables qui vont se passer dans ta vie et surpasse toi à chaque fois que c'est difficile. Dit-il en mettant sa main sur ma joue
Je suis tellement fier d'avoir eu une fille comme toi et sache qu'avec ta mère et ton frère on te regardera toujours de là haut en pointant le ciel et on sera toujours ici quoi qu'il arrive en pointant mon coeur je t'aime ma fille. Dit-il en fermant les yeux et en laissant tomber sa main de ma joue.

A partir de ce jour là je me suis renfermée sur moi même et je me surpasse chaque seconde qui passe pour ne pas sombrer dans la haine. Bon revenons au sujet des pupilles. Elles servent à rentrer dans la tête de l'adversaire et de le contrôler à sa guise. J'active donc mes pupilles et je peux voir que l'effet attendu et bien là. Sasuke et Naruto sont choqués j'adore la tête qu'ils font c'est beaucoup trop drôle !

Malheureusement pour Naruto il n'a pas eu le temps de fermer les yeux pour éviter de tomber dans le piège que je rentre dans son esprit.
Moi (dans son esprit): mets toi à genoux et dit que j'ai gagné
Naruto essaye de résister et j'avoue j'ai cru qu'il allait ne pas le faire mais ces pupilles sont beaucoup trop puissante même pour Naruto. Alors je m'enlève de son esprit et le vis par terre à genoux et moi j'étais tellement épuisée que je m'évanouis mais avant de toucher le sol des non un bras m'a empêché de me faire mal en tombant.