Je vous vois venir avec vos grands sabots, déjà, le chapitre premier poster sur ce site était incroyable, ensuite "on veut la suite toute de suite", mais j'hésite.
Mon récit n'est pas un fastfood débridé de toute conscience politique et de ce fait, je me demande si vraiment vous le méritez...Bien, je vais le faire, mais pas pour les raisons que vous pensez, je le fais pour le les trois "F", la fâme, le fric et les fans à remarquer que tous sont pour moi inutiles, mais commençons.
Installez-vous dans un siège agréable au postérieur, qui n'est ni trop mou ni trop dur, juste assez haut pour que les jambes ballotent de temps à autre, mais pas trop non plus, sinon il deviendrait compliqué de se hissez sur cette montagne de plaisir inatteignable.
Une fois cela fait, préparez-vous un chocolat chaud et si vous y êtes allergique, mes condoléances, c'est très dommage pour notre relation.Dans l'histoire que je m'apprête à vous comptez depuis à peut prêt 12 lignes j'aimerais parlez de bonheur, un mot vide de sens à l'époque du récit, car la vie était constamment troublée de par cette chose nommée plus tôt.
À cette époque j'étais un fier boulanger de par mon métier de faiseur de pain, j'en avais gagné le titre après plusieurs années de service qui reste inégalé depuis.
Tout se passait bien, mais alors que le temps filait comme des petites créatures qui s'avance dans un tumulte de conséquences fatidique mue par d'innombrables autres créatures.Un client entrait, il était moche, mais vraiment, sa famille l'avait forcé à porter un sac sur la tête avec écrit dessus "quelque chose de pas très gentil".
Il entrait dans cet établissement qui n'était pas à moi, mais à la personne qui m'avait formé le grand et l'unique "Patron" comme tout le monde ici l'appelaient.
— Voulez-vous des pains ? demandais-je sûr de moi, car nous ne vendions que des pains.
C'était une technique que m'avais enseigné Patron pour ne pas me faire prendre au dépourvu, il l'avait nommé "Le premier contact", c'était une référence à un film ou à un livre ou à un jeu ou à un groupe de musique ou à un artiste peintre ou à une personne ou chose qui en était la référence.Trêve de billevesée, le client moche, qui ne l'était pas vraiment, car aux vus de son sac, personne ne pouvait juger de son visage qu'il soit moche ou pas moche d'ailleurs.
Sa réponse fut brève, il voulait avoir un pain spécifique, mais comme je n'en connaissais pas le nom j'appelais Patron qui n'était lui, pas disponible.
Ce fut un coup porter à la rate de mon courage, comment faire si Patron n'est pas là, j'étais son seul et unique apprenti, personne ne pouvait m'aider, j'étais abandonné par la vie elle-même, abandonnée à la société comme un bout de pain à des oiseaux.Note de l'auteur : Ne donnez pas de pain aux oiseaux c'est très néfaste pour eux, ni de pain, car cela serait une violence non nécessaire et gratuite de surcroit.
VOUS LISEZ
L'épopée
HumorUne histoire tragique, d'un voyage périlleux, d'une traversé lointaine, mêlant instant palpitant, décor extravagant et tension palpable, d'un homme seul face aux conséquences de ses actions. Arrivera t'il à vaincre ses démons et à parachever la miss...