Chapitre 15

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"À l'exception du Lord Lu, amenez tous ces hommes au bureau du gouvernement pour qu'ils soient interrogés !" Même si Jing était extrêmement irrité envers les Frères de Lu Cang qui avaient envenimés la situation entre Lu Cang et lui, il devait encore garder le contrôle et remettre de l'ordre.

Laisser Cao Xin et les autres se faire manipulés par Zhang Zi dong, c'était comme servir un agneau à un tigre, - Une situation très dangereuse et impuissante. Lu Cang n'aurait pas approuvé cela.

"Battre ce chien de Zhang était mon idée. Quel est le rapport entre Cao Xin et les autres ? Si tu veux condamner quelqu'un, cette personne sera certainement moi ! Laisse-les simplement partir, sinon, je ne te le pardonnerai jamais !"

Les Gardes Impériaux n'avaient bien sûr pas le courage de le tenir fermement. Le lien sur lui n'était même pas un peu serré.

Les cris et les luttes de Lu Cang lui permirent finalement de se libéré de la corde lâchement attachée. Il chargea directement sur Jing.

"Tu es un tel casse-cou !" Jing s'arrêta et le captura, utilisant ses deux mains
fermement liées pour tenir Lu Cang. "On dirait que je ne t'ai pas assez discipliné. Tu as toujours ce comportement de petit bandit des montagnes. Maintenant, dis-moi comment tu veux que je t'éduque, pour que je puisse te faire plaisir."

Ignorant Lu Cang qui essayait désespérément de résister à son étreinte, il le lia encore plus fort contre lui, il tourna la tête pour donner l'ordre : "Ding Peng, faites vite pour envoyer Cao Xin et les autres à la préfecture de Hang Zhou !"

"Votre Majesté, comment se fait-il que de les envoyés à Hang Zhou serve de punition ?" Zhang Zi Dong, qui était toujours très content de lui, lorsqu'il apprit l'absurdité d'une telle punition, étant totalement ignorant, se plaignit bruyamment de côté.

Avant, pour ce genre de crime, ont les auraient envoyés aux travaux forcés dans la région frontalière. De toute façon, il n'y avait aucun interêt d'envoyer les prisonniers à Suhang (1).

Le père de Zhang était sur le point d'ouvrir la bouche pour aider son fils à le raisonner, mais en voyant Jing les regarder, il retint sa langue de peur. – Les yeux de Jing étaient sévèrement stricts et froids. Jing était évidemment mécontent de ce duo père et fils qui avait attisé le conflit entre Lu Cang et lui. S'ils ne faisaient pas preuve de tact et insistaient pour l'interrompre, qui sait, ce serait peut-être leur tour d'avoir de la malchance.

"D'accord, alors maintenant vous êtes satisfait !" Jing sortit froidement par la
porte tout en tirant encore Lu Cang dans sa poitrine. Ding Peng fut abasourdi pendant un moment. Pourtant, ne sachant pas s'il fallait rire ou pleurer, il ordonna à certains de ses subordonnés d'emmener Cao Xin et les autres. Redressant son expression faciale, il se dirigea vers Jing.

"Espèce de bâtard ! Va mourir ! Tu ne m'aimes pas le moins du monde. Tu as laissé ce chien de Zhang Zi Dong s'occuper de mes Frères, je ne veux plus jamais te parler..."

Son râle féroce lancé au sommet de ses poumons se dissolva en un gémissement dans la main de Jing. Jing couvrit étroitement sa bouche. Lu Cang qui était consumé par sa colère, mordit cette main.

"Veux-tu déjà arrêter !" Jing qui était piqué par la douleur, jeta Lu Cang au sol.

Pris par surprise, Lu Cang tomba à plat ventre. En raison du choc dû au hurlement de rage de Jing, il ne put immédiatement ramper pour se relever. Il ne pouvait utiliser ses yeux que pour regarder Jing comme la représentation de sa propre rage.

"Ne t'ai-je pas suffisamment protégé ?" Jing prit un air extrêmement irrité.

"Battre sans aucune raison un fonctionnaire du gouvernement, est un crime impardonnable. Veux-tu que j'ordonne de vous massacrer tous sur le
champ pour te rendre heureux ?"

Hua Hua You Long (FR) -  BxB/YAOI (terminé) 🔞Où les histoires vivent. Découvrez maintenant