Chapitre 4

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Avant de commencer de lire, je voulais vous prévenir que ce chapitre contient une scène de viol explicite
Bonne lecture 👽









PDV DE YOUSTON

BIP BIP B-
Je mis ma main sur ce putain de réveil dans le but de ne pas entendre cette troisième sonnerie.
Je me tournai pour attraper mon téléphone qui lui, stationnait sur ma table de chevet.

DIMANCHE 3 Juillet, 10h07

Attendez, c'est une blague. Je me suis réveillé à 10h07, un jour de vacances et un Dimanche en plus.

Et puis pourquoi je suis dans mon lit ?
Comment j'y suis arrivé ?
Qui m'y a mis ?

Les questions s'enchaînent dans ma tête comme les vagues d'une mer durant une tempête.
Une minute, je suis en pyjama néanmoins je n'ai aucun souvenir de m'être changé. Mes souvenirs sont flous. Si on récapitule :

- Hier je me suis disputée avec mon père et l'autre pute - grosse pute -

- Ensuite, je suis sortie dehors, il pleuvait à en faire trembler les rivières.

- En peu de temps je m'étais retrouvée trempé et assise sur un vieux banc.

- Des mecs bizarres sont venue me déranger en pleine réflexion - grosse réflexion - sur ma vie

- Je l'es ai remis en place en leur donnant une bonne leçon

- En m'en allant, j'ai entendu des cris.

- Je suis tombé sur Aeden

- On a commencé à prendre le chemin du retour et une voiture nous a poursuivi puis... plus rien

Mes souvenirs s'arrêtent ici, je me suis réveillé dans mon lit.

Je finis par me levée, en bas, il y a avait beaucoup de bruit cependant la voix de mon père n'était pas la seule élever.

Oh putain
Elle a pas dormis ici quand même...

Je mis mes chaussons et descendis afin de les rejoindre. Sans surprise, l'autre salope était là, assise sur une chaise haute - la mienne - en train de siroter son petit Starbucks tandis que mon père était dans la cuisine en train de faire ce qui semblait être des pancakes. C'est la première fois qu'il y mettait du siens dans un petit déjeuner.
Aeden, lui n'était pas au rendez-vous. Il ne semblait ni être dans le jardin ni dans le salon.

- Coucou chérie
Mais elle fait tout pour m'énerver ou quoi, je n'avais pas fait attention jusque-là mais elle porte une de mes nuisettes. Elle est sérieuse là.
Elle lui arrive au ras du cul et sa poitrine beaucoup plus volumineuse que la mienne dépasse. On se croirait dans un film pornographique.

- C'est mon pyjama lui rétorquai-je

- Elle n'avait pas de change alor- commença mon père

- En parlant de sa ma chérie reprend-elle je ne pense pas que tu aies le corp adapté pour porter ce genre d'habit. Sa ne te met pas en valeur puisqu'il n'y pas vraiment de chose à mettre en valeur. Dit-elle avec une pointe de fierté dans son timbre de voix.

Un secret trop bien gardéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant