(Enora) j'avais tout racontée à Ellen et elle m'avait comprise. Je l'aime trop.
(En pleine nuit)Chérie ? Réveille toi.
- Quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
- J'entends des pas vers la salle de bain. Ouvre la fenêtre, enjambe la et fuit sans te retourner.
-Tu crois que c'est eux ?
- Je n'en sais rien.
-Il est hors de question que je...
-Fais ce que je te dis, moi je vais voir ce qu'il se passe.
-Je t'aime.
-Moi aussi ma belle. N'appelle surtout pas la police.
Et ne prends surtout pas la voiture, je ne sais pas combien ils sont.
-Oui
Je sortis par la fenêtre et je me mis à courir.
(Enora)
Je pris l'arme que j'avais achetée et je sortis doucement de ma chambre.
-Petite salope, je vais te tuer ! Sors de là hahaha. Tu vas mourir comme ta putain de famille. ALLEZ SORT DE LÀ SORT, VIENS M'AFFRONTER PUTAIN !Bam bam bam, je tirais trois coups de fusils et une se mis sur son épaule.
-Haha, bien fait connard, où sont tes sbires ? Hein ? Hein ? Où ils sont ?Je l'entendais dire à ses sbires de le ramener chez lui.
Aussitôt je pris ma voiture et le suivit.
Sur la route une femme, son mari et leur fils sortirent de la voiture, ils revenaient sans doute d'une soirée. Je m'arrêta près d'eux, sortit et tira 4 balles, une sur la tête du père, deux autres sur le ventre et la jambe de l'enfant et la dernière dans l'abdomen de la mère.
Je sais pas pourquoi j'avais fais ça mais mon âme, mon cœur et mon cerveau avaient complètement déraillés. Plus de pitié. En arrivant chez Marcel, je n'avais qu'à suivre le sang.
Bam une balle dans la gorge de son pote devant la porte. J'ouvris la porte et mit une balle dans le cœur à son ami. Et le dernier reçu 8 balles dispersés dans son corps.
Il manquait plus que lui.
-MARCEL, MARCEL MARCEL MARCEL MARCEL !
il était assit sur un fauteuil. Je pris son arme et vida le chargeur.