Thomas X Ayato || Sentiments Cachés

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Thomas se réveilla à la douce odeur de pain d'épices qui flottait dans l'air.
Il se redressa sur son lit et observa les alentours, en étant à moitié endormi.

Quelqu'un avait enroulé un bandeau sur sa tête, et des médicaments étaient étalés sur le chevet a son côté.

La porte s'ouvrit, dévoilant une Ayaka plus qu'inquiete qui avait préparé un plat des plus raffinés.

- Oh mon dieu ! Thomas ! S'écria t-elle en s'agrippant à son cou, j'ai eu tellement peur !

- Hum, fit-il en retenant un gémissement de douleur, je suis vraiment désolée...

- Pas la peine ! Qu'est-ce qui t'est passé par là tête ?

- Je...je ne sais pas. Je ne sais plus Mademoiselle Ayaka..

Elle comprenait sans avoir à écouter ce que Thomas voulait dire. Elle savait pour Ayato et pour l'histoire tragique de son ami, il y a des années.

Pendant des années, les deux compagnons de disaient tout. Elle ramassa son plat et lui tendit.

- Mange. Vite. Tout.

- Yes, dit-il avec un hochement de tête.

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Après qu'un médecin l'ai examiné, Thomas fut mis en congé par Ayaka pour inaptitude au travail.

Le blond fut touché de savoir qu'elle se souciait de lui et lui rendit la pareille en l'invitant au festival d'Inazuma. Plus précisément celui de feu d'artifice.
Ce qui ne l'avait pas laissée indifférente.

- WAOUH !!! Thomas je t'aime !

- Mlle Ayaka, j'en aime un autre,dit le blond en rougissant.

- Hahahah, je sais !

Pour ce festival, Ayaka mis sa plus belle robe. Un grande robe bleue avec un ruban de la même couleur à sa taille.

Thomas, lui, opta pour la simplicité et mis juste  son traditionnel habit de majordome. Et attacha ses cheveux à l'arrière.

Il se mirent en route à la hâte, tout content et serein. Il faisait sombre dans la forêt de shinju, mais l'obscurité de pouvait rien faire contre le bouclier pyro de Thomas.

Tandis qu'ils marchaient le vent se mit à souffler. Soudain, Thomas arrêta de parler et de marcher. Il était paralysé. Il poussa Ayaka derrière un buisson et se cacha avec elle.

- THOM-

- Tais-toi, Ayaka, lui chuchota-t-il gravement, regarde !

Au loin, un grognements se faisait entendre. On pouvait sentir la terreur dans l'air.
C'est lui.

Le limier de la faille.