Forgés par la vie ( en réécriture)

Chapitre 52: BOOM

youhouuuuuu, je sais ça fait long temps, désolé, mais c'est que ce chapitre m'a donné du fil a retorde, je changeais d'idée touts les minutes et je ne sais pas si vous allez aimez ou pas donc n'hésitez pas a laisser des commentaires

ps : là, c'est Nat qui parle : salut les cocos, je me faisais chier, Simon n'est pas marrant donc je suis venue vous faire un petit coucou et vous remerciez pour les 20K de lecteurs, c'est énorme, perso, je n'aime pas trop ce chapitre, pourquoi ? Parce que, je n'y suis pas tien, bref Koukii va m'étriper donc j'arrête de parler et vous laisse lire, a bientôt, je vous aime

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Quelques secondes plus tard, nous remontons en voiturer direction ......... L'aéroport ?

Ethan : ne me pose pas de question, ''patience''

Je soupire et roule des yeux

Ethan : voilà, descend

Je tourne les yeux et soupire encore une fois en sortant de la voiture en même temps qu'Ethan, ce dernier donne ses clés à un mec et lui dit de faire ce qui était prévu, il me prit par la main et me fait entrer à l'intérieur de ce grand bâtiment qui malgré l'heure tardive était remplis de monde, il m'attrape la main et se dirige vers une porte ou y avait un vigile

Ethan : merde, il ne devait y avoir personne, bande d'incapable

Il s'approcha vers le vigile d'un air inquiet et complètement choqué

Ethan : Mr, Mr, vous voyez l'homme avec un chapeau ? Je l'ai entendu parler au téléphone, il prévoit de mettre une bombe dans quelque seconde

Je le regard choqué, idem pour le vigile qui accourut en direction de l'homme au chapeau

-le pauvre-

Ethan : imbécile

Moi : c'est toi l'imbécile, tu veux bien m'éxpliqu ........

Il dépose ses lèvres sur les miennes me faisant taire

Ethan : fais-moi confiance. Viens

Il ouvre la porte et me fait signe d'y entrer. Je m'exécute en l'attrapant par la main ce qui le fit sourire, j'aimerais dire que je souriais aussi, mais j'étais juste surprise, inquiète, et abasourdie en remarquant que nous étions sur la piste de vol des avions

Ethan : tu aimes ?

Moi : c'est joli oui, mais qu'est-ce qu'on fait ici ?

Il s'arrêta derrière une sorte de petite voiture,