Forgés par la vie ( en réécriture)

Chapitre 45

Hey deux chapitre en quelques heures, c'est qui la meilleure ? :D

lol j'ai grave aimé écrire ces chapitres, n'hésitez donc pas a me dire votre avis et a votez ça fait toujours plaisir 

MJD

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Moi : Ethan

Ethan : ne dis rien, s'il te plaît reste juste comme ça, c'est tout ce dont j'ai besoin

Moi : regarde-moi

Ethan : non

Moi : regarde-moi, je te dis

Il lève la tête, et je pus voir son expression qui m'a juste donné envie de l'embrasser - ce que j'ai au passage fait - il était trop mignon, je ne l'ai encore jamais vue dans cet état ce qui me prouver à quel point il tenait a moi

Ethan : je dois t'avouer un truc. Je suis mort de trouille à l'idée qu'il soit de retour, je sais la place qu'il a eu dans ta vie, qu'il a dans ta vie ce qui ...

Je l'interromps en l'embrassant, je ne voulais pas entendre ça et encore moins de lui

Moi : Ethan, je t'aime, c'est avec toi que je veux être, je vais réussir à l'effacer et a l'oublié son retour ne change rien JE LE HAIS

Il me prit dans ses bras et me serre fort contre lui, nous restons comme ça un long moment avant de renter finalement chez moi

Ethan : je vais prendre une douche

Je m'affale sur mon lit la tête dans mes oreillers à repenser à la journée d'aujourd'hui, surtout a la soirée et a comment ça s'est terminé, un sourire de conne s'afficha sur mon visage en repensant a la réaction d'Ethan qu'est-ce que j'aimerai le revoir dans cet état

Je poussais les oreillers en entendant la porte de la salle de bains s'ouvrir

Moi : ce n'est pas trop. Ah ! Vas t'habiller idiot

Il éclate de rire face à ma réaction, c'est que je ne m'attendais pas a ce qu'il sorte en serviette

Ethan : tu n'aurais pas un truc à me passer ?

Moi : ouvre mon dressing, tu trouveras les vêtements d'Eric

Il hésita un moment avant d'entrer et de prendre un simple bas de jogging, alors cheveux mouillé décoiffer, torse nu et sourire au coin irhfrhgiujqhoiuftenheojvngjbtunhiujtbongtjbuhjnjnhysirt
Pauvre de moi, il sauta sur le lit et se mit à califourchon, steuplé pas ça

Ethan : arrêtez de me mater ainsi mademoiselle