Forgés par la vie ( en réécriture)

chapitre 26

Eric était en train de frapper dans son passing-Ball des bouts de papier autour de lui pendant que Cam s'approchait de lui, elle le prend dans ses bras déposant un baiser sur sa joue (une drôle de sensation me fait grimacer)

Cam : je suis désolé

Il attrape son visage de ses deux mains la regardant dans les yeux

Eric : non, non, non, c'est a moi de m'excusé à cause de moi t'as encore pleins de problèmes en + de ça, je ne fait que prendre des décisions merdique comme te ramener ici ou encore me taire devant les saloperies de Sali, je suis vraiment désolé Cam

Cam : ne dis pas ça déjà, tu l'aimes ta cousine et puis que serais-je sans problèmes dit moi ce n'est pas pour dire, mais je m'y suis habitué moi, tien, j'ai une idée ça te dit de se faire une promesse que rien ni personne ne nous séparera comme quand nous avions 7 ans

Eric : dit, on n'a pas déjà fait cette promesse genre QUAND nous avions 7 ans

Cam : oui, mais non disons que c'est une sorte de renouvellement de promesse

Eric : et nous n'avons pas déjà renouvelé cette promesse y a 2 ans

Cam : oh, mais arrête de m'énerver et donne moi ton fichu petit doigt

Il éclata de rire tout en croisant son petit doigt avec celui de Cam

Eric et Cam : cani, poussi, koukii, poutchi, calouné, nous promettons que rien, ni personne ne pourra jamais nous séparer

Ils se font un câlin tout en rigolant, ça m'énerve !

Cam : c'est un peu con quand même non ?

Eric : j'avoue

J'avoue aussi sérieusement, je n'arrive plus à regarder cette scène décurrente non mais sérieusement, il ne manque plus que les cœurs et les fleurs autour d'eux pathétique, je cours presque me réfugier dans ma chambre suivi par Sali toute souriante

Moi : tu veux quoi ?

Sali : ça t'énerve à ce point

Je fronce les sourcilles ne comprenant pas ou elle voulait en venir ou plutôt fessant mine de ne pas comprendre

Moi : quoi ?

Elle sourit une nouvelle fois et s'installe sur la chaise du bureau surtout fait comme chez-toi bon, c'est vrai qu'elle est un peu chez elle

Sali : tu sais, je ne l'ai pas toujours détesté avant je l'admirais tout ce qu'elle faisait me semblait génial ELLE me semblait géniale

Non, elle est géniale heu quoi non, non, c'est un tas de merde de pandas et encore, c'est mignon un panda elle aussi, c'est vrai oh, mais ferme-là crétin, je crois bien que je pète les plombs oui, c'est ça, je deviens taré