Je le veux (Bakudeku)

Chapitre 1

Bonjour bonjour x)

Bienvenue sur ma première fanfiction postée sur ce compte, Je le veux ! J'espère que cette petite histoire sans prétention vous plaira et vous divertira le temps de ses quatre petits chapitres. Bonne lecture !

***

Un gémissement fend l'air. Dans le silence de la chambre résonne seulement un souffle haché et le froissement des draps. La pièce est plongée dans l'obscurité quasi totale, et seule la lune éclaire vaguement le lit de ses rayons à travers la fenêtre. Un deuxième gémissement brise le silence. Sous les couvertures, on devine le mouvement de deux corps qui font bouger le matelas. Les draps s'agitent et se froissent, une jambe nue émerge bientôt à l'air libre, couverte de sueur. La main qui la tient relevée à les doigts contractés, enfoncés dans la chair moite. La jambe remue au rythme des coups, d'avant en arrière. Peu à peu, la couverture glisse au sol et révèle deux corps pâles, collés l'un à l'autre, qui dansent de manière sensuelle. Les deux hommes, les yeux fermés, le souffle court, gémissent doucement sous les vagues de plaisir. Le blond à la carrure imposante embrasse la nuque de son amant et passe à présent son bras sous le genou pour mieux relever sa jambe. Glissé dans son dos, sur le flan, entre ses cuisses, il ondule contre lui lentement, amoureusement. Son bassin, dans un mouvement de va-et-vient, fait glisser son sexe à l'intérieur de son amant pour le faire gémir. De sa main libre, il caresse son ventre puis ses tétons, et accélère le rythme. Le garçon aux cheveux verts, prisonnier de son emprise brûlante, le sent aller et venir au plus profond de lui avec délice. Il gémit plus fort en agrippant les cheveux du blond derrière lui.

- Kacchan... soupire-t-il comme une supplication.

A l'entente de son prénom, le blond dépose un nouveau baiser sur la nuque de son amant et fait ses coups de rein plus profonds et plus passionnés encore.

- Oui, mon amour, je suis là...

Le plus petit sent le désir lui ravager les côtes et son corps déjà brûlant semble s'embraser encore plus. Il se resserre autour du sexe de Kacchan, le faisant grogner, et l'accompagne en ondulant du bassin pour le recevoir plus profondément. Il le sent pulser à l'intérieur de lui, le souffle de Kacchan si près de son oreille, ses bras qui le sèrent contre lui. Il voit flou, ses dents malmènent sa lèvre inférieure et il laisse échapper une série de gémissements incontrôlés annonçant qu'il approche de la fin. D'une main tremblante, il saisit son sexe et se caresse, tandis que de l'autre il délaisse les cheveux de Kacchan pour se poser sur sa fesse gauche, et d'une pression il l'encourage à s'enfoncer en lui.

- Deku ! gémit Kacchan contre son oreille, sentant qu'il va jouir.

Deku accentue les caresses sur sa verge et plante ses ongles dans la chair ronde de son amant quand il se sent partir. Il pousse un cri rauque et jouit sur le matelas en tremblant de tout son corps, traversé de longs spasmes, déchiré par le plaisir. Kacchan continue de lui faire l'amour en murmurant son prénom et l'accompagne en caressant son sexe qui continue de déverser son désir par vagues sur la couverture. Alors que le corps de Deku se calme peu à peu, les sourcils froncés, Kacchan relève encore un peu plus la jambe de son amant pour s'offrir la plus large ouverture possible à l'intérieur de lui, et après quelques coups de rein supplémentaires, emplis de passion puis finalement de douceur, il se déverse en lui avec un grognement sourd.

Leurs halètements emplissent la pièce alors qu'ils ne bougent plus, dans les bras l'un de l'autre, savourant les dernières secondes du nuage de plaisir provoqué par l'orgasme. Puis peu à peu, leur rythme cardiaque ralentit et l'excitation redescend pour les laisser dans un doux silence apaisant. Kacchan qui a relâché la jambe de Deku, caresse l'intérieur de sa cuisse avec douceur et embrasse sa joue du bout des lèvres. Puis, il glisse lentement sa main entre eux et se retire avec douceur de son amant. Deku frissonne en découvrant la sensation de vide et dirige sa main vers son intimité. Du bout des doigts il caresse l'orifice. Il en effleure le contour, le sent qui commence à se refermer, et y glisse le bout de sa phalange. Il sent le sperme qui commence à couler et ajoute un deuxième doigt. Dans un soupir, il les enfonce.