Dans la peau de Kaiser
Je le regarde et d'un coup
je vois qu'il commence à se réveiller
jusqu'à ouvrir les yeux quand il s'est rendu compte de ma présence il a voulu attraper son armeMoi- C'est inutile j'ai tout pris
Lui-...
Moi- assis toi...assis toi
comme un homme face à moiIl s'est redressé et dans son regard
j'ai vu de la paniqueMoi- regarde ce regard
regarde bien mes yeux tu vois quoi dedans ?Lui-...
Moi- dit le qu'est ce que tu vois ?
Lui- Putain j'en sais rien !
Moi- t'en sais rien ? Moi je vais te dire la fatigue
les nuits blanche à te chercher la fatigue de voir
ma mère devoir enterré à nouveau ses enfants
mais ça c'est derrière t'es enfin face à moi et ta mère va pouvoir enterré encore un enfant
comme la mienneLui-....
Moi- ton frère je l'ai frapper mais pas tuer
mais j'ai vu qui l'a tuer et le truc dans tout ça
c'est que je fais que de ramasse les pots cassé
des actes d'un fils de pute mais ça c'est pas grave
je vais régler ça plus tard mais toi ?
Toi ce que tu va vivre va être différent
Tu va souffrir doucement en agonisant
avant de mourirPuis plus rien il y a eu silence
Lui- qu'est ce que tu va me faire ?
Moi-...
J'étais comme un fou à le fixé sans un mot
Je m'imaginais le torturer je veux qu'il souffre
qu'il pleure et me supplie d'arrêter mais j'abrègerai pas pour autant ses souffrances
je suis prêt à le voir souffrir.Je reste là le regard dans le vide.
OMNISCIENT
Le temps s'est arrêté dans la pièce le regard de kaiser s'assombrit comme les souvenirs qu'il avait
de ses frères il est le dernier encore en vie
l'unique fils qu'il reste à sa mère
Il entends à nouveau les cries de douleur
de sa mère il l'a revoit au sol prêt
de leurs tombes impossible de la relever
son âme son coeur crie de douleur.
Il se rappel du regard vide sa mèreVictoire Hugo à dit
Pour une mère qui a perdu son enfant
c'est toujours le premier jour
Cette douleur la ne vieillit pas.
Les habilles de deuil ont beau s'user et blanchir
Le coeur reste noir.C'est dans un élan de colère et la rancune amère
que les premiers coups fut donner
une première droite puis une secondeKaiser- défends toi sois un homme
Caivon- ...
Kaiser- DÉFENDS TOI FILS DE PUTE
TA EU LE COURAGE DE TUER MES FRÈRES
ALORS VAS-Y POURQUOI T'AS PLUS
LE MÊME COURAGEA-t-il dit avant d'envoyer
un coup de marteau en pleine face à Caivon
Le sang éclaboussé sur les murs
mêlés aux cries de douleur de Caivon
et aux cries de rage de Kaiser.
Rien ne pouvais l'arrêter rien n'y personnes
n'est pouvais cette colère cette rage qui submergé
le coeur de Kaiser comme un souffle au cœur
qui te consume la rage consume kaiser.