Chapitre 3.

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Lys

Les doigts de cette homme son toujours posé sur mon menton. Une sensation de froid me parcouru de la tête au pied. Je suis totalement crispée, je ne sais pas à quoi m'attendre.

Et ses doigts...

Ses doigts son l'inverse de son visage. Ses doigts son chaud, ils me brule la peau alors que ses yeux me refroidisse immédiatement.

Si je n'aurais pas été dans se genre de situation, je l'aurais trouvé beau mais là il me fait plus peur qu'autre chose.

- Cosa stavi guardando?  Cosa ci fai in questo fottuto vicolo? Dit il en s'adressant à moi dans une autre langue que l'a mienne et d'une voix rauque et éraillée qui inspiré le respect. L'intonation de sa voix ne présageait rien de bon.

Je ne répond rien parce que je ne comprends rien et car je suis trop occuper à mettre de l'ordre dans mes pensées. Je tremple et je suis tériffier par la situation et par ce qu'il pourrait se passer.

Pourrait t'il me faire pire qu' Enoz ?

Je jette un coup d'œil par dessus son épaules et la seule chose que je vois est une flaque de sang. Les trois autres hommes qui l'accompagnait ne sont plus là et ils ont dû enmèner la dépouille du pauvre homme avec eux.

Des milliers de question fusse dans ma tête. Et si c'était moi la prochaine qui allait mourir dans cette rue ? Est ce que je suis prête à mourir ? Sa non mais ais-je vraiment le choix? La réponse est non.

- Non farmi ripetere. me dit-il d'une voix beaucoup moins calme qu'avant.

Mes yeux laisse la marre de sang pour le regarder dans les yeux. Ses sourcils se fronce encore plus en voyant que je ne dit pas un mots et que j'en ai pas l'intention.

Il délaisse mon menton pour poser sa main sur ma gorge.

L'air commence à me manquer, j'ouvre la bouche et essayer de récupérer le plus d'air possible mais il bloque le passage. Mes poumons ne resoive plus d'air.

Je posse mes mains sur son avant bras et j'essayer d'enlever l'emprise qu'il a sur ma gorge mais malheureusement, ce que je fais est plus ridicule qu'autre chose vu la différence de taille de nos mains.

L'air me manque de plus en plus et il commence à me hurlé dessus en me disant des choses dans une langue que je ne comprends pas. Mes poumons manque d'air et je commence à suffoquer.

Tout qu'un coup son autre main apparaît dans mon champ de vision. Mais je crois que j'aurais préféré ne jamais la voir. Mon cœur s'emballe, il bat de plus en plus vite, de plus en plus fort dans ma poitrine, il est prêt à lâcher.

Dans sa main il y a une arme.

Je n'ai jamais été autant effrayer, même avec Enoz.

Ça main se ressert autour de mon cou et son arme vient se placer contre mon front.

Il continue de me parler ou plutôt de m'hurler dessus en italien je crois, mais je ne comprends pas un seul mots dans cette langue. Les seul mots que je sais dire en italien c'est Buongiorno et grazie.

Mes yeux essaie de ne pas laisser couler mes larmes.

Ma tête essaye de déchiffré ce qu'il me dis.

Mon cœur essaie de ne pas s'arrêter.

Mon corps essaie de ne pas lâcher.

Mais je ne suis pas assez forte. Mes yeux sont inondé de larmes, ma tête ne comprends toujours rien de se qu'il me radote. Et je sens mon corp et mon cœur me lâcher peu à peu.

J'essaie de le supplier du regard mais l'homme en face de moi est...

Froid

Effrayant

Inexpressif

Et dangereux

J'ai peur... Encore plus qu'avec Enoz.

Et pourtant je suis incapable de faire quoi que ce soit.

J'aimerais lui crier que je ne comprends pas un mot de ce qu'il me dit.

J'aimerais avoir assez de force pour le repousser.

J'aimerais tant pouvoir me défendre.

J'aimerais tant de choses mais pourtant je suis incapable de dire ou faire quoi que ce soit.

Ses doigts chaud contre mon corps contraste avec le froid de son arme qu'il a collé contre mon front.

Mes yeux commence à ce fermer tout doucement et la seule chose que je ressens encore sont les battement de mon cœur qui ralentisse.

Puis je me sens partir.

Tout autour de moi devient noir.

Mais même le noir me paraît plus rassurant que ses yeux vert.

Alors je me laisse partir sans aucune résistance...


???

Pour l'instant tout ce passe comme prévu. Je n'aurais pu espérer mieux après tant de temps perdu. Ce soir tout a enfin commencer. Il ne faut plus que je fasse l'a moindre erreur.





*****

Buongiorno, lecteurs et lectrices !

Je tenais à m'excuser pour les fautes d'orthographe car je suis sûr qu'il y en a pleins. Je tiens as préciser que je n'ai JAMAIS été forte en orthographe...

Un Fiore Nella MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant