Chapitre 5.

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Lys

Je ne sais pas combien de temps ça fait que je suis enfermé et j'angoisse de plus en plus. J'ai eu le temps de dormir et quelqu'un m'as apporté un petit plateau avec un bout de pain et de l'eau. J'ai essayé de lui parler mais il m'a tout simplement ignorer.

Des bruits de pas m'ont réveillée et même si j'ai essayée de me rendormir c'était impossible. Des cris, des hurlements d'hommes m'en ont empêcher.

C'est cris ont cessé il y a à peu près trente minutes enfin je crois.

Mon esprit est rempli d'incompréhension et une question me revient souvent en tête.

Que vont t'il me faire ?

Je n'ai pas le temps de réfléchir encore plus à ça, que la porte s'ouvre sur deux homme.

Ils sont beaucoup plus petit et moins effrayant que l'autre homme mais il n'ont pas l'air commode. Un à les cheveux brun et les yeux marron et l'autre à l'aire plus âgé avec ses cheveux blancs et ses ride sur son visage.

- Quindi è questa piccola cosa che dobbiamo portare al capo? Dit l'homme plus âgé en m'enlevant ce qui me tient les pieds.

- Il capo è fortunato, io lo farò bene. Repliqua l'autre toujours dans une langue que je ne comprends pas. Il ne peuvent pas faire des efforts et parler en français un peu ?

- Gianni n'y pense même pas !

En fin un peu de français ! Bon si je comprends bien l'homme brun s'appelle Gianni.

- il ne le saura pas...

- Alfio sait toujours tout, rétorque l'homme plus âgé.

Je suis perdu c'est qui Alfio ?

- Mais peut être qu'il veut pas la baisser ? 

Mais de quoi ils parlent ? Je suis totalement perdu.

- Peut importe se qu'il veut en faire, ce ne sont pas nos affaires.

- t'es vraiment un rabat-joie Giuseppe.

- fait le boulot et ferme la. Peste l'homme au cheveux blanc pour fermer la discussion je pense.

L'homme le plus âgé se tourne vers moi et me dit :

- je ne sais pas comment tu as terminé dans la mafia petite chose mais une chose est sûre tu ne pourras pas t'en échapper.

Mes yeux sont à deux doigts de sortir de leurs orbites.

La mafia ?

Ce la veut dire que je suis entourée de mafieux ?

Mon dieu...

L'homme au cheveux brun m'attache les mains en me regardant bizarrement, je ne supporte pas le regard qu'il pose sur moi mais je ne dis rien trop préoccupé par ce que l'homme m'as dit et de toute façon que puis-je faire contre des mafieux ?

Après m'avoir attaché les mains il me relève et tout ça sans occune délicatesse bien sûr. Ils me tire vers la sortie et la lumière me brûle la rétine, je ferme les yeux quelques secondes pour m'habituer à cette lumière qui contraste avec le noir casi total qu'il y avait dans la pièce où j'étais et je suis les deux hommes sans dire un mot.

Plus on avance et plus je regarde ce qu'il se passe autour de moi, j'essaie de connaître tout les petits recoins de cette immense endroit.

On est d'abord passé dans un couloir plutôt vide puis on a monter quelques marches. Les deux hommes qui m'escorte ne pipe pas un mots et l'ambiance est plutôt préssante et pesante.

Mais à quoi je m'attendais de la part d'hommes qui doivent tuer des centaines de personnes tous les jours ?

On passe une porte qui m'emmène à une sorte de salon où plein d'hommes sont assis entrain de discuter. Enfin était entrain car depuis qu'on à passé le seuil de la porte tout leur regard son braqué sur moi.

Sur la table au milieux d'eux se trouve de la poudre blanche et des armes. Comment ai-je pu finir dans un endroit pareil sérieusement ?

Je remarque un homme qui ce différencie plus des autres car je l'ai déjà vu. J'essaie de me remémorer où je l'ai vu et sa me revient directement. C'est l'homme qui est venu accoster Arina lors de cette soirée. Il s'appel Gabriel je crois. Dès que je serai sortie de cette merde je le dirai à Arina, elle a assez souffert en amour.

Enfin il faudrait déjà que j'arrive à sortir d'ici mais d'après ce que m'as dit l'homme tout à l'heure, c'est impossible.

Mais je ferai tout pour y arriver, je ne baisserai pas les bras si facilement.

Donc la première chose que je vais faire c'est sortir d'ici le plus vite possible et en vie de préférence puis rentrée à Lyon avec Arina et pour finir reprendre ma petite vie là où je l'ai laissé et continuer de supporter les sautes d'humeur de mon frère.

Un homme chauve et armée se rapproche de nous. Il est plutôt fin donc pas vraiment effrayant à première vue mais l'arme qu'il tient dans sa main droite ne me rassure aucunement.

Il se rapproche de plus en plus de nous et va parler à l'homme le plus âgé. Je ne sais pas trop se qu'ils se disent mais les sourcils épais de l'homme se fronce, il jure dans sa barbe et ils partent tout les deux.

L'homme brun fait abstraction de ce qu'il ce passe et continue d'avancer. On arrive devant de grands escaliers, il me tient toujours aussi fort et me force à avancer. On monte jusqu'aux troisième étage qui est totalement vide.

Il s'arrête d'un coup au milieu du grand couloir avant de tourner la tête de gauche à droite. Je ne comprends pas ce qu'il ce passe. Il tourne la tête vers moi, nos yeux se croisse et son regard qui divague sur mon corps très peu vétu en dit long. Je ne vais pas du tout aimer ce qu'il va ce passer.

Il me plaque contre le mur et commence à m'embrasser dans le coup et je suis totalement impuissante. Une de ses mains ce plaque sur ma bouche pour m'enpêcher de crier et l'autre sur mon sein. Mes mains sont attachés, je ne peux rien faire pour me défendre et les larmes me monte au yeux, encore.

Qu'ai-je fait pour mériter tout sa ?

La mort de mes parents.

La violence de mon frère.

Mon kidnapping.

Je ne supporterais pas une chose en plus, mon âme ce détruirai encore plus.

Le viol ne doit pas s'ajouter à cette putain de liste.

Pourtant je suis bloqué, c'est main qui divague sur mon corps me dégoût.

J'essaie de bouger dans tout les sens mais sa force dépasse la mienne. Les larmes coule le long de mes joues. Je suis impuissante. Sa main répugnante quitte mon sein pour se poser sur une de mes jambes. Sa main remonte le long de ma jambes et la seule chose que je veux faire c'est crier, crier tout ce que j'ai sur le cœur, lui crier de me lâcher, crier ma douleur pour que tout le monde l'entende.

Alors je mord sa main qui me bloque. Il jure en italien mais je ne fais pas attention à ce qu'il dit de toute façon je ne comprendrais pas. J'inspire une grande bouffer d'air et fait sortir tout ce que j'ai sur le cœur.

Mon crie est aigue et rempli de douleur. Je sais que personne ne l'écoutera ou s'en sousira mais j'ai besoin de le faire sortir avant que mon cœur se détruise encore plus qu'il ne l'ai déjà...

Un Fiore Nella MafiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant