Le tableau de la raison

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Pour une prise de conscience, l’on faisait au quotidien confiance à la sagesse de temps jadis, qui servait des leçons, par des exemples limpides, éveillait les esprits engloutis par les ténèbres de la pensée subjective, à l’ignorance.

L’Empereur et son Conseiller, c’était une histoire qui avait donné l’aubaine, à ce monde assujetti à l’incompréhension de la manifestation divine, source de bénédiction, qui prenait la défense de l’Homme, en se positionnant Havre de paix et bouclier contre le mal, l’impatience de l’humain, l’apercevait… et disait : « à quelque chose, malheur est bon ».

À chaque fois qu’une mauvaise destinée se battait à l’empire du chef souverain de l’Etat, le Conseiller était la première personne à saisir, pour donner son avis, il répondait à tous les événements malheureux par une seule réponse.

La faiblesse de l’être humain, c’était une chose qui s’en moque à la patience, notre homme fort aimait la chasse, il part avec un de ses gardes du corps… dans une grande forêt peuplée des animaux sauvages de toute nature, pour effectuer les moments de lance des flèches à base d’un arc.

En effet, il se fait blessé à la main gauche, il avait perdu son index, une fois à l’empire, l’Empereur interrogeait le Conseiller sur l’événement malheureux, en répliquant disait : « cela vient de Très haut, un très bon signe ».

L’Empereur suite à la réponse de son Confident, il était fâché après avoir entendu le chuchotement de satan, « ton Conseiller souhaite que le malheur s’abatte sur toi » et il avait ordonné à ses gardes du corps de le mettre à la geôle, une semaine après, il était réparti en chasse… 

Ils tombaient dans un piège des humains sauvages qui habitaient la forêt, la coïncidence c’était qu’ils organisaient une cérémonie de sacrifice pour rendre hommage aux dieux de la forêt d’où nécessitait le sang d’un être humain…

Alors les deux détenus avaient été présentés au roi des êtres sauvages, pour sacrifice, il fallait un être humain complet, sans manque physique, à la surprise, l’Empereur lui manquait un doigt, il fut relâché, mais son garde du corps était tué pour la sacrifice.

Le rescapé était de retour à la résidence, sa première décision était celle de relâcher à l’immédiat le confident

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