chapitre 2 :

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Les filles de dimitrescu m'emmène dans une pièce et me jette au sol, je commence a en avoir marre qu'on me jette par terre. Celle qui se nomme Daniela se rapproche de moi en rigolant.

Daniela : Bon écoute moi bien la petite nouvelles, ton boulot est de bien sûr nettoyer comme tout bon esclave les lieux, de nous servir si ont veut quelque chose et surtout servir notre mère ta bien compris ?

Maël : ouais je pense que jusque là ses facilement compréhensible.

L'une des sœurs, Cassandra me taillade le bras ce qui me fait gémir de douleurs.

Cassandra : comme mère te l'a dit l'arrogance et le sarcasme n'a pas ça place ici, donc arrête si tu veux espérer survivre.

Dans ma tête je les insultes de tout les noms mais bon je vais faire une pause sur mes piques sinon je vais pas faire long feu.

Cassandra : bien maintenant va faire ton travail. Et te fait pas trop remarquer sinon tu aura une petite surprise.

Je sors de la pièces et je me mets au travaux qu'on m'a confiée mais en traînant. Je n'est vue personne le reste de la journée j'ai fais que le ménage sauf le soir ou dimitrescu ma demander de venir dans ses appartements pour lui apporter sont dîner. J'en profite pour admirer la décorations du châteaux malgré la situation, les dorures, la tapisserie, toute est magnifique. Notre village est assez particulier car contrairement au mode extérieur nous n'avons aucune technologie, nous somme rester bloquer dans un ancien temps. Ca ne m'a jamais déranger jusqu'à Aujourd'hui ou j'aurais bien voulu de quoi appeler les secours. Je ne peux m'empêcher de penser à mes parents, la façon de comment se fou les a tuer, une boule se forme dans ma gorge j'ai même pas eu le temps de pleurer la mort de mes parents.

Et j'en aurais toujours pas le temps puisque je viens d'arriver au appartement de dimitrescu. J'entre en toquant a la porte, ont me dit d'entrer.

Maël : je vous apporte votre repas.

Dimitrescu qui était jusqu'à alors en train de lire sur sont bureau se tourne vers moi et me fait signe d'approcher. Je lui dépose sont dîner. Et je m'en vais. Mais ça voix retentit.

Dimitrescu : pas si vite jeune fille, viens donc t'asseoir.

Je me retourne méfiante.

Maël : pourquoi ?

Je l'entend soupirer visiblement exaspéré.

Dimitrescu : je veux savoir qui tu est, je veux en savoir plus sur toi. Alors viens t'asseoir.

Sont ton est autoritaire et sans appel je le sens bien. Je m'approche doucement toujours aussi méfiante, je m'assois tout mes sens sont en alerte.

Dimitrescu : bien je t'écoute mon enfant comment t'appelle tu ? Et qu'elle age a tu ?

Je grimace a l'entente des mots "mon enfant" je repense toute de suite à mes parents se qui me fait serrer les poings.

Maël : les seul personnes qui avait le droit de m'appeler "mon enfant" c'est mes parents, vous savez ? Ceux que votre psychopathe de frère a assassiné !

Mon parole sont pleine de rage et en même temps de souffrance, je ne peux pas pleurer leurs mort mais je peux continuer à être moi même de toute façon je n'est plus rien a perdre.
Dimitrescu me regarde attentivement comme si elle me sonder, je ne baisse pas le regard malgré ça présence imposante.

Dimitrescu : mon psychopathe de frère comme tu dit m'avais bien prévenue que tu était pas si facile à dompter, mais je tes quand même penser des questions, donc je te conseil vivement de me répondre jeune fille.

L'exilé Où les histoires vivent. Découvrez maintenant