Chapitre 4: La mort dans les yeux

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Je me situe maintenant à New York, la ville des pickpockets. C'est ironique, je c'est rien à me faire voler. Je suis venu en ces lieux pour pouvoir exercer ma "profession" plus facilement. Ici le taux de criminalité est très élevé mais ne vous inquiétez pas, bientôt, l'égalisera le taux de mortalité. Bref, je marchais tranquillement et les mains des pickpockets défilaient sur ma personne. Je rentra dans un bistro histoire de me faire arnaquer pour un café. J'avais légèrement faim je pris donc un bagel. Je récupéras donc le tout ainsi qu'un journal et alla m'asseoir. Ce que j'aime, c'est que grâce aux journaux je pouvais garder des souvenirs de mes accomplissements. Passant un regard de pitié sur ce qu'était cette édition, je pris une gorgée de café. Je passais au travers de la rubrique des appartement à louer ou à vendre. Jusqu'à ce qu'un liquide bouillant me glisse dans le dos. C'était un serveur qui avait échapper le contenu des tasses de café. Après s'être excusé et m'avoir donner de quoi essuyer son erreur, il reprit la direction de la cuisine. Il avait réussi à me sortir de mes pensées et je regarda autour de moi. Près, il y avait un père accompagné de sa fille. Je leur addressa la parole :

" -Bonjour!

-Salut.

- Salut petite!

-Bonjour monsieur! Comment allez-vous?"

Et c'est à ce moment qu'une violente gifle atterrie sur la joue de la petite.

"- Je t'ai dit de ne pas parler au étranger!

-Monsieur, c'est illégal de lever la main sur un enfant. Je vous sommes d'arrêter.

-Mêlez vous de vos affaires!

-Mais papa, il est pas méchant le monsss....."

Une seconde gifle se ficha sur la joue de la petite fille exactement au même endroit. Une trace rouge suivie d'une gicle de sang pris la place de l'endroit où la main c'était déposée à double reprise. Oh le salaud. Ce dernier mot résonna dans ma tête. Salaud. L'homme en question pris la fille par la main et l'entraînas avec lui jusqu'à sa voiture qu'il démarra. En moins de deux minutes, il ne restait aucune trace de lui. Je promis de le retrouvez. Je n'étais pas le héro des films mais quand même, il avait battu son enfant. Pas question qu'il recommence. Du moins, pas dans cette vie-ci. Je me leva, laissant mon bagel et mon café sur la table, glissant mon journal sous le bras, je sortis du bistro. Il devait être 11:45 Am. J'eut l'envie de faire un peu de tourisme. J'allas donc me promener en ville, question de m'agglomérer à celle-ci. Je marchais sans destinations, flattait les chiens errants, pensait si je pouvais en adopter un... Puis soudain, se dressa devant moi une auberge. J'entra et m'approcha du comptoir: "

-Bon matin gente dame! Je cherche une chambre, en avez vous une de disponible pour m'abriter?

-Mais bien sûr! Prenez la chambre 3 au bout du couloir à gauche.

-Merci!

Elle me tendit une clé que je glissa dans ma poche puis je marcha jusqu'à ma chambre. Je glissa la clé dans la serrure, la tourna, ouvrit la porte, la ressortie puis ferma la porte derrière moi. Il est près de 13:00 et je suis très fatigué... J'opte donc pour un somme.

Quand je me réveilla, il devait être 17;00... Je sortis donc pour faire encore un peu de tourisme. Je marchais, marchais, marchais et puis m'arrêta devant la fameuse statue de la liberté. Et c'est à ce moment que j'aperçu l'homme de ce matin. Il se tenait non loin de celle-ci accoté a un muret à discuter avec un homme à l'aspect douteux. Lorsque l'homme à l'aspect douteux s'éloigna, je m'approcha de l'homme de ce matin puis discrètement, je descendis mon coup au dessus de sa tête. Il s'étala de tout son large et je le pris comme une poche de pommes de terre sur mon dos. La statue de la liberté était fermé au public à une heure pareille mais je réussi quand même à m'y faufiler, ayant soudoyer le garde. Rendu au sommet, dans la couronne, je sortis un briquet. L'homme encore dans les pommes, avait encore cet allure horrible de ce matin. J'alluma la flamme du briquet puis souda ses paupières de façon à ce qu'elle ne s'ouvrent plus jamais. Je fis de même avec la bouche pour qu'il évite de crier. Il s'était réveillé... Il bougeait se débattait, essayait d'hurler mais il n'y parvenait pas. Soudain, il agrippa ma jambe. Il la tenait très fermement. je saisie alors une bonbonne anti-feu puis lui cassa la main puis lui cassa l'autre aussi. À nouveau, il tenta de crier, en vain. C'est à ce moment que je le jeta en bas de la statue mais son corps resta coincé sur un œil. Tant mieux s'il n'est pas mort... Il se réveillera et s'agitera jusqu'à tomber en bas.

Maintenant, la fille aura retrouvé sa liberté.

Punit par l'assassin!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant