Ma jeunesse

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Vous vous demander sûrement pourquoi je me comporte ainsi. La réponse est simple; mes parents!

Aillant toujours été battu toute mon enfance, j'avais peur de mon père. C'est pourquoi, à chaque fois qu'il m'ordonne de faire une tâche je m'exécute. Mais cette envie incontrôlable de tuer vient affirmativement de mon géniteur. Comment ça? Le début remonte à une nuit d'été 1984 alors que j'étais âgé de 11 ans. Cet enfer à débuter a cause du tonnerre. Oui! Celui qui m'a réveiller par une nuit d'orage. Alors que ma mère roupillait depuis peu allonger sur le canapé à coté de ses mégots encore fumant je descendit a la cave. Pourquoi? J'entendais les rires de mon père. En descendant, j'aperçut une énorme tâche rouge qui marquait la jolie moquette bleue. Du sang!!! Mes yeux cherchant désespérément du soutien ou des explications je regardait dans toutes les directions. C'est alors que mes yeux se posèrent sur une scène qui a bouleverser mon destin. Mon père était assi sur une vieille chaise et à ses pied se trouvait un sans-abris gisant dans une marre de sang. Les nombreuses marques de coups de couteau qui décorait sa poitrine et son bassin montrait qu'il ne s'agissait pas là d'un travail de débutant. Oh non! Loin de là les coups démontrait un travail acharné. Me rapprochant pour tenter de comprendre pourquoi il avait poser ce geste, une forte odeur d'alcool me monta au nez. Ce qui je m'étonna pas c'était de trouver une bouteille de wiskey vide à ses pieds. C'est alors qu'il m'apperçu. Il me tendis alors un couteau me demandant de lacérer soigneusement et avec précision sa gigulaire. Voyant que j'hésitait, il me fixa du regard et ordonna d'une voix sérieuse que si je ne le faisait pas, Mon corps serait couverts de bleu le lendemain. Alors essayant de le faire le plus rapidement pour éviter toute souffrance, je trancha sa veine vitale. Étrangement, j'éprouvait un sentiment de bien être. Je voulu donc recommencer. Mais cette fois je choisirais et torturerais ma cible seul! Une fois après avoir assommé un clochard qui tramait près de la boutique de maman, je le rentris dans la cave en toute discrétion. Cette fois ci, je commencerais par le marquer au fer rouge, et pour être sûr qu'il m'observe durant toute ma séance de torture, je lui couperais les paupières. Choses dites, Chose faites. Je commença mon petit plaisir. Les gémissements me donnait un sentiment de pouvoir! Un sentiment si fort que j'en voulait d'avantage! Puis pour continuer je lui coupa les ligaments des genoux un par un par commençant d'abord par le droit et finissant par le gauche. Je dois avouer que la pitié commençait à me gagner. Je décida alors d'être gentil et de faire quelque chose de moin souffrant. Je lui ouvrit donc la cage torassique et de casser ses os un par un. Puis je crevit son poumon droit pour finir par lui compresser le cœur à mains jointes. C'est à ce moment précis que je sentis son âme s'envoler, alors que ses yeux sortis hors de leur orbite. Pour lui donner une fin respectueuse je sortis ses tripes pour les donner aux vautours. Ces pauvres petites bêtes n'avait pas manger depuis plusieurs jours. Ce geste démontre que je suis sympathique et généreux! L'exemple d'un humain parfait! Si parfait que je ne choisi pas mes victimes par hasard, je tue les personnes aillant nuit à la société (voleur, agresseur, meurtrier et personne frauduleuse). C'est ce qui fait de moi un homme différent de mon géniteur.

Punit par l'assassin!Où les histoires vivent. Découvrez maintenant