Rendu du concours de poème de @Azralego

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Pour le concours de @Azralego :

Voici mon poème ! Je le fais sur Étoile Brisée !


Je suis né d'une portée

Alors que je devais pas exister

Enfin, quand je venais d'être né,

Tout les chats se sont méfiés

Et tout le monde m'a rejeté


Même ma mère ne m'aimait pas

Alors que j'le savais pas

En voilà une preuve sûre

Elle m'a nommé Petite Brisure


Plus tard, je fus apprenti

J'ai chassé quelques souris

Mais je préférais me battre

Ainsi que combattre


Quand je fus baptisé guerrier

J'étais débarrassé

De mon mentor affaibli

Qui avait le teint gris


A mon tour je devins mentor

J'étais le plus fort

Mais j'obtins le pire apprenti

Il s'appelait Nuage Petit 

Une fois il faisait pas ce que je dis

Alors je l'ai bien puni


Je l'ai pendu à un arbre

Il y avait sûrement du marbre

Il criait à en perdre la voix 

Voilà ce qui arrive quand on m'obéit pas


Après il fut tétanisé

Tant mieux j'avais dû bien effrayer

Quand il fut guerrier

Il avait été soulagé

Que je ne sois plus sur dos, d'être débarrassé

De moi, son mentor qui l'avait effrayé


Plus tard mon père me nomma lieutenant

A moi de gérer les patrouilles du Clan

Un jour seulement j'eus l'idée de tuer mon père

En créant un piège et en restant sincère.


Enfin, je devins meneur 

Et je décidai de semer la terreur 

Je conquis le Clan du Vent 

Ils partirent tous en courant.


Pendant longtemps, je fis peur aux Clans

Je fis également couler le sang

Puis, un jour, j'envoyai Museau Balafré

Pour tuer ainsi que voler


Mais les guerriers du Tonnerre les ont repris 

Et puis tout mon Clan m'a trahi

Puisque tout le monde s'était enfui 


Le Clan du Tonnerre, ayant récupéré les chatons 

M'emmena avec ces demis portions 

Grièvement blessé, j'allai dans la tanière de Croc Jaune 

Où il n'y avait pas trace de faune


Puis des lunes et des lunes après 

Croc Jaune me tendit des baies 

Elles n'étaient bonnes à manger

Car elles étaient empoisonnées


Je perdais mes vies petit à petit 

À cause des baies que j'avais englouties

Je commençais à faiblir 

Et je rendis mon dernier soupir











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